A Blois comme à la Région, les élus RN ont voté contre la mise sous tutelle.
Après Nicolas Perruchot qui s’était précipité pour signer avec l’Etat au nom du département, ce sont les villes de Salbris et de Vendôme, ainsi que l’agglomération des territoires vendômois, qui ont accepté la mise sous tutelle de leur budget, au mépris du principe constitutionnel de libre administration des collectivités.
Nous avions déjà parlé du débat à Blois, où le conseil municipal a refusé de se soumettre et à la région Centre-Val de Loire, où le président Bonneau a fini par signer, contraint et forcé.
Prochaine étape en 2020 : faudra-t-il soumettre au Préfet les programmes des candidats à l’élection municipale pour vérifier s’ils permettront de respecter cet engagement, et le cas échéant invalider les candidatures qui refusent de s’y plier ?
Le « nouveau monde » de M. Macron ressemble fort au second empire, où ce sont les Préfets qui désignaient les maires ! Et où les banquiers ont véritablement pris le pouvoir…
Salbris et Vendôme acceptent leur mise sous tutelle par l’Etat.
Toujours plus de migrants en Loir et Cher : Macron a encore menti aux Français.
30 logements réquisitionnés par le Préfet à Blois en octobre 2016, 125 de plus sont prévus. Combien au total ? (image d’archives FN41)
La loi « asile et immigration » avait provoqué des cris d’orfraie du côté de la gauche et de l’extrême-gauche, allant jusqu’à provoquer des vapeurs chez certains députés « en Marche », où en plus des « godillots » il y a aussi quelques « babouches ».
Cette indignation, réelle ou feinte ne pouvait que servir le tandem Collomb-Macron, dont les Français ont pu croire qu’ils allaient durcir la politique d’asile et d’immigration.
Bien sûr, c’est exactement le contraire.
Cette loi était destinée à faire croire aux Français qu’il y aurait désormais un contrôle plus strict, pour mieux leur faire accepter les quotas de réfugiés qui nous sont imposés par Bruxelles, en plus de ceux qui de toutes façons entrent clandestinement.
Ainsi pour le seul département de Loir et Cher, le Préfet annonce la mise à disposition de 125 logements supplémentaires pour accueillir les familles en sortie de CADA (centres d’accueil de demandeurs d’asile) et ceux qui arrive « via la plateforme nationale », autrement dit des migrants en situation irrégulière que l’on réparti sur le territoire pour désengorger Calais ou Paris.
Et comme il est précisé dans l’article (la Nouvelle République du 26/05/2018) les places ainsi libérées en CADA seront aussitôt occupées par de nouveaux arrivants.
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Hébergement, soins, formation, emploi : priorité aux clandestins ?
Auchan recrute. N’hésitez pas à proposer votre candidature.
« Samioula, Jahangir, Mohamed, Doghei, sont Soudanais, Afghans, Syriens. Ils sont jeunes, certains sont mariés et ont laissé femmes et enfants très loin d’ici ; ils possédaient un travail et une formation dans leur pays d’origine, qu’ils ont quitté, certains depuis 2003. Ils ont tous un point commun : ils sont arrivés en France il y a un ou deux ans, comme migrants, certains à la fin du mois d’octobre 2015. Ils sont passés par le CADA (Centre d’accueil des Demandeurs d’asile) [de la Région) ».
C’est que révèle le magazine Internet Mag’Centre.
Traduction : ils sont entrés en France clandestinement, après avoir franchi les portes d’une Europe-passoire et au lieu d’être reconduits à la frontière, ce que nous interdit Schengen, ils sont pris en charge intégralement à vos frais : logement, nourriture, soins, formation et promesse d’embauche. Avec bien sûr un petit pécule à la clé.
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Salbris redoute l’arrivée de nouveaux migrants, le maire dément.
Extrait du PV du conseil municipal du 14 décembre (cliquez sur l’image pour agrandir).
La question a été posée lors du dernier conseil municipal le 14 décembre : est-il prévu d’accueillir de nouveaux « migrants » (*) dans un immeuble rue de Verdun.
Le maire répond que la ville de Salbris est déjà largement au-dessus de la moyenne en matière de ration d’accueil, et q’une demande d’extension serait irrecevable.
Espérons-le. Mais nous savons aussi que l’intérêt de l’association Coalia est de développer toujours davantage ses activités.
Et si le Préfet décidait d’une extension de la capacité d’accueil, le Maire pourrait-il s’y opposer ?
Lors de la réunion publique du 3 novembre 2016, il avait pourtant déclaré qu’il n’avait pas pu s’opposer à la demande formulée par Coalia.
Le pourrait-il aujourd’hui ?
Il est permis d’en douter et le Front National restera vigilant pour avertir les Salbrisiens.
(*) appellation contrôlée des immigrés clandestins
Salbris : permis d’aménager bloqué derrière la mosquée. Restons vigilants.
On se souvient de la polémique créée par un projet d’extension de la moquée de Salbris en octobre 2016.
Le maire de Salbris et le président de l’association islamique locale avaient réagi violemment en nous accusant de mensonges.
Sauf que nous avions pu apporter des preuves irréfutables.
Les menaces d’une plainte ne nous ont pas davantage impressionné, et nous avions même publié de nouveaux documents, incitant les uns et les autres à modérer leurs propos… et à se faire plus discrets.
Mais les riverains du site ont été alertés par des travaux de démolition sur un terrain à proximité, et par un permis d’aménager déposé en mairie pour « trois terrains à usage d’habitation et un espace commun« .
Instruit par un précédent à Mer, déjà dénoncé par le Front National, un de nos adhérents de Salbris a écrit au maire de la ville pour lui faire part des inquiétudes des riverains, qui viennent naturellement nous trouver.
Il faut dire qu’Olivier Pavy partage peut-être ces inquiétudes, car le permis d’aménager a été refusé « considérant l’insuffisance de la défense incendie nécessitant le remplacement pour renforcement du réseau d’alimentation d’eau potable« … pour lequel la mairie n’est pas en mesure de s’engager (document joint : Arrêté refus permis d’aménager Salbris).
Dont acte, mais le refus repose sur des éléments qui ne sont pas définitifs et n’en dit pas plus sur la destination réelle de l’espace « commun », ni sur les conditions de la démolition.
D’où le courrier envoyé au maire, malheureusement la réponse demeure tout aussi évasive.
Affaire à suivre.
Encore le Front National demeure le seul recours.
Salbris : la facture du Teknival.
Nous vous avions tenu informé du Teknival de Salbris il y a un an.
En dépit des propose rassurants du Préfet de l’époque, de la presse locale et du maire de Salbris, nous avions annoncé qu’au final ce sont les habitants de Salbris qui paieraient la note.
Nous en avons la confirmation aujourd’hui, dans un article publié par la Nouvelle République où le maire de la ville avoue que la facture, pour la seule commune, s’est élevée à 60 000 €. L’État a remboursé 25 000 €, il reste 35 000 € plusieurs fois réclamés, sans succès.
Le même scénario risque de se reproduire avec l’accueil des « migrants », dont le charge supportée par la ville reste soigneusement cachée.
Mais nous les aurons bien un jour.
#Marine 2017 : en campagne sur le marché de Salbris.
Ce matin Mathilde Paris accompagnée d’une équipe de campagne (Josette Mazoyer Secrétaire de circonscription, Philippe Bobe responsable du canton, William, Laurent) était sur le marché de Salbris.
Comme partout nous avons reçu un excellent accueil.
Après un repas avec les militants dans un restaurant ami, l’après-midi sera consacré à la rencontre de commerçants et d’habitants en porte à porte.
A noter la présence sur la marché d’une petite équipe qui distribuait un tract pour Macron… en l’absence de Jean Bernard, dont la simple évocation semble mettre très mal à l’aise les représentants du candidat des banques et des médias du système !
Un ex-candidat FN rejoint Macron : quelques précisions.
Qui veut m’investir ? Je soutiendrai son programme.
Un ex-candidat FN qui se tourne vers le candidat du système, des médias, des banques, favorable à l’immigration massive etc…
Cela paraît tellement invraisemblable que la presse locale et régionale s’est interrogée, cherchant à comprendre les motivations de l’intéressé.
Après la Nouvelle République, c’est le site de France Info qui publie un article sur cette péripétie originale de la campagne.
Et une nouvelle fois Jean Bernard tente d’expliquer qu’il avait adhéré au Front National pour exprimer un mécontentement alors qu’il adhère au discours d’Emmanuel Macron qui selon lui « parle du fond ».
Surprenant quand on voit la vacuité des propositions de l’ancien ministre de François Hollande.
Pour se justifier, l’ancien frontiste ajoute qu’il est en désaccord avec le volet social du programme de Marine, en particulier sur la retraite à 60 ans.
Rappelons tout de même que la position de Marine Le Pen et du Front National sur la retraite n’est pas nouvelle, et que notre ex-candidat feint de découvrir aujourd’hui une mesure qu’il a approuvé cinq fois en sollicitant une candidature qui l’engageait sur l’honneur à défendre le programme du mouvement dont il demandait l’investiture.
Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage…
Mais faisons d’abord un petit retour en arrière.
Jean Bernard déclare à France Info : « En 2013, j’ai donc choisi de rejoindre le Front national, par défaut, parce qu’il n’y avait aucune autre formation dans laquelle je pouvais exprimer mon mécontentement. »
En fait, Jean Bernard adhère au Front National le 22 novembre 2011, pour aussitôt demander son investiture en vue des législatives de juin 2012. Sa candidature ne sera pas retenue, en particulier pour respecter l’impératif de parité.
A la suite de se premier refus, il restera en retrait pendant un peu plus d’un an, avant de s’intéresser aux élections municipales. Il sera investi tête de liste à Salbris, mais ne parvient pas à rassembler une équipe et ne pourra donc pas être candidat.
En 2015, il obtient à nouveau l’investiture pour les élections départementales dans le canton de Sologne et mènera campagne sous les couleurs du Front National, dont il défend le programme sans exprimer de réticence.
Il explique largement autour de lui que le vote Front National n’est plus un vote protestataire mais un vote d’adhésion.
Il fera en définitive un score de 25,04% (ce qui le classe 12ème sur 15 cantons).
Il demande à nouveau à être investi, en position éligible, sur la liste des régionales.
Dans un souci d’équilibre territorial, il sera finalement en 5ème place, ce qui ne le satisfait pas pleinement.
Cela ne l’empêche pas d’être candidat à l’investiture pour les législatives de 2017, c’est donc sa 5ème demande d’investiture successive sur cinq élections. Pas mal pour un engagement « par défaut ».
Mais la commission nationale d’investiture ne va pas le retenir, ce qui provoque son mécontentement, puis sa démission, assortie de la menace de se présenter contre la candidate pré-investie par le FN.
Oui, mais sous quelle étiquette ? Debout la France ? La place était déjà prise, et puis faire 2% ne devait pas lui sembler digne de ses ambitions.
C’est pourquoi il n’a pas hésité, non sans une certaine naïveté, à demander l’investiture du mouvement « En marche ! ».
C’était ignorer que les investitures sont verrouillées par un vieux routier de la politique, champion en son temps du cumul des mandats et des fonctions, Jean-Paul Delevoye.
Le web-magazine Mag’centre ironisait il y a quelques jours au sujet des législatives : « recalés des autres partis, opportunistes de tous bords, doux rêveurs, responsables associatifs, quidams en manque de reconnaissance ont saisi l’occasion. »
Dans quelle catégorie faut-il classer Jean Bernard ?
Toujours est-il que le président de la commission annonce qu’un premier écrémage aurait déjà eu lieu et, « pour les faire redescendre sur terre, je demande s’ils sont capables de trouver 30.000 euros pour financer leur campagne » ! (voir notre article du 21 février).
L’affaire semble bien mal engagée, puisque la référente locale du mouvement en Loir et Cher a refusé de créer un comité à Salbris que voulait présider notre ex-frontiste, qui restera donc comme beaucoup un adhérent virtuel.
En attendant, conformément à nos statuts, cette adhésion l’exclut de facto du Front National. Bien qu’il n’ait pas renouvelé sa cotisation il a donc été classé en « indésirable » afin d’éviter qu’il tente un jour de revenir… pour obtenir une nouvelle investiture !
Disparition des Services publics postaux de proximité : stop ou encore ?
Nous avions déjà dénoncé la fermeture du Bureau de Poste de Blois les Cornillettes, en zone urbaine (blog FN41 du 26-01-2017) et la réduction des horaires du Bureau de Poste de Romorantin Les Favignolles (blog FN41 du 28-01-2017). Plus récemment, c’est au tour du Bureau de Poste de Salbris qui voit ses horaires d’ouverture réduits (voir communiqué de la Mairie de Salbris du 15-02-2017).
Rappelons quand même que les mêmes amis politiques du Maire de Salbris, au niveau national et européen, ont voté toutes les transpositions des directives de l’Union Européenne qui ont déréglementé La Poste et ses missions de Service Public postaux de proximité. Résultat : fermeture de Bureaux de Poste dits « non rentables », fin des missions d’aménagement du territoire, logique de financiarisation au détriment du service rendu.
C’est encore une fois de plus la France des oubliés, des villes et des champs, celle qui subit en silence, qui ne braille pas et ne casse pas tout, qui se trouve abandonnée par cette classe politique de Gauche comme de Droite, totalement sourde aux aspirations du peuple de France et à ses souffrances. Les Français renverseront-ils la table en Avril et Mai prochain en élisant une candidate libre, défendant les seuls intérêts du peuple ?
Avec Marine, « l’accès aux services publics de proximité sera garanti sur tout le territoire, en particulier en milieu rural (Engagement 138) : La Poste et la SNCF resteront des entreprises publiques ».
Laurent Bras, Secrétaire Général du cercle Front syndical
En panne.
L’ancien responsable FN de Salbris, Jean Bernard, déçu de ne pas avoir été investi pour les législatives avait annoncé sa démission en septembre dernier.
Un geste de mécontentement assez commun bien que regrettable lorsqu’on se prétend animé par des convictions.
Il déclare aujourd’hui adhérer au mouvement «En marche», expliquant qu ‘il avait rejoint le FN « par révolte et protestation » (la Nouvelle République du 14 février 2017). Il oublie qu’il a été candidat à plusieurs élections, en signant à chaque fois un engagement sur l’honneur.
Il oublie aussi à quel point il insistait régulièrement pour figurer en position éligible.
Il figurait en 5ème place sur la liste FN aux régionales, et nous lui demandons publiquement, s’il a changé d’idée au point de soutenir l’euro-mondialisme et l’immigration, d’envoyer sa lettre de démission au cas il serait appelé à siéger en remplacement d’un conseiller élu.
Dans le cas contraire, il n’y aurait plus personne pour croire à la sincérité de sa démarche.
Cette volte-face surprendra sans doute ceux qui l’avaient suivi. On peut en effet évoluer. Mais passer du souverainisme à la défense d’une Europe supra-nationale, c’est tout de même plus qu’une simple évolution. Quant à la question de l’immigration, rappelons que l’intéressé, qui avait pourtant quitté le FN, manifestait encore le 3 novembre contre l’ouverture d’un centre d’accueil à Salbris. Il parle aujourd’hui d’un tract FN dénonçant « l’arrivée supposée de migrants à Salbris« . Ils sont pourtant bien arrivés !
Cette péripétie ne peut que décrédibiliser encore un peu plus le mouvement attrape-tout d’Emmanuel Macron, qui se transforme jour après jour en voiture-balai du système.
Ceci dit le moment est peut-être mal choisi pour rejoindre ce mouvement qui semble désormais en panne. La bulle ne devrait pas tarder à éclater avec ses adhérents-fantômes qui ont simplement cliqué sur Internet, comme pour un simple « like » sur Facebook.
Quant à ses chances d’être investi aux législatives par « En marche », elles semblent proches de 0,01%.
D’autant plus que la commission d’investiture est présidée par un vieux routier de la politique, Jean-Paul Delevoye, dont la carrière représente exactement le contraire de ce que préconise la charte du mouvement.
Salbris : coups de feu rue des Mésanges.
Voiture brûlée, coups de feu, trafic de drogue… Que se passe-t-il rue des Mésanges à Salbris.
Dans la nuit de la Saint Sylvestre des coups de feu ont été tirés rue des Mésanges à Salbris.
Selon la Nouvelle République, « des traces de plombs auraient été retrouvées sur un volet et le mur d’un petit collectif HLM« .
Le lendemain nous apprenons que l’auteur des coups de feu a été interpellé et placé en garde à vue pour violences aggravées. Il faut dire que ce n’est pas un inconnu, puisqu’il avait déjà été interpellé le 30 décembre, et devait comparaître (prochainement ?) devant le tribunal pour détention d’armes et de cannabis.
La NR évoque une possible vengeance suite à une dénonciation ?
Toujours est-il que c’est devant ce même immeuble qu’une voiture avait été incendiée le 21 décembre dernier.
Y aurait-il aussi un lien avec une affaire de trafic de drogue ?
Il se passe des choses étranges rue des Mésanges !
Une voiture brûlée à Salbris.
Rue des Mésanges à Salbris.
Une voiture a brûlé mercredi matin vers 5 heures rue des Mésanges à Salbris (source : la Nouvelle République). Comme d’habitude, nous n’en saurons pas davantage, mais les circonstances laissent à penser à un incendie criminel.
Une forme de délinquance aux causes multiples, mais trop souvent banalisée.
Apprendre à lire aux migrants : combien ça coûte, et à qui ?
(image d’illustration)
La Nouvelle République consacre un article aux formations dispensées par l’association Alire à destination des étrangers « désireux de s’installer en France. »
En fait, on rencontre des situations diverses. Certains sont des « réfugiés » ou plutôt des « demandeurs d’asile », ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Malgré l’assouplissement des régularisations demandé par le gouvernement, 70% des demandes sont rejetées, ce qui veut bien dire que ce ne sont pas majoritairement des réfugiés.
D’autres sont venus pour rejoindre leur conjoint français, là encore avec une part non négligeable de mariages « arrangés » par des intermédiaires qui travaillent aujourd’hui sur Internet, ou encore viennent au titre du regroupement familial.
L’origine géographique des personnes citées dans l’article montre bien que les réfugiés y sont minoritaires : pays du Maghreb, Arménie, Afrique noire (sans autre précision), Irak, Taïwan. Et ce sont des femmes qui sont majoritairement citées, contrairement à ce que nous montrent les images des hordes de « migrants » forçant les frontières de l’Europe.
Question : où sont donc passés les hommes ? Certains auraient-ils d’autres activités plus lucratives comme le montre souvent la rubrique des faits divers ?
Il est rappelé aussi que ces formations s’inscrivent dans le cadre du Contrat d’intégration républicaine (CIR), dont les signataires s’engagent à « respecter de manière effective les principes qui régissent la République française » ou encore les « les valeurs essentielles de la société française et de la République ». Est-ce à dire que le port du voile est interdit pendant les cours ? Quel est le contenu de l’instruction civique qui est dispensée ? Autant de questions qui mériteraient une réponse.
Enfin l’article n’évoque jamais une question essentielle : combien ça coûte et qui paie ?
L’association Alire vend également des formations à la Région Centre-Val de Loire (*), notamment au titre des « savoirs de base », dispositif de remise à niveau qui n’est pas sans similitudes avec ce qui se fait pour l’accueil des étrangers.
Or, ces « visas Libres savoirs » qui durent 10 à 80 heures sont facturés entre 194 et 511 € (visa trois en un de 80 heures) par stagiaire. Par déduction, on peut estimer un module de 200 heures à environ 1 200 €, soit 24 000 € pour la formation citée en exemple.
Et l’article précise que 275 formations ont été dispensées en 2016 par l’association. Pour quel coût total ?
Nous espérons – sans trop y croire – que les intéressés feront connaître les réponses.
En tout cas, nous constatons, comme avec l’exemple de Coalia à Salbris, que l’accueil des « migrants » représente un business intéressant pour certains… mais toujours aux frais du contribuable !
(*) bien que l’association Alire n’ait pas toujours été retenue en raison de notes éliminatoires dans les appels d’offres, (« offres irrégulières »)
Salbris : quand le maire joue sur les mots.
La réunion publique du 3 novembre n’avait pas vraiment convaincu les Salbrisiens.
Mais le « mot du maire », dans le dernier bulletin municipal (Salbris mag n°8)a de quoi les rendre encore plus perplexes.
En effet le maire y déclare que « l’augmentation du nombre de places d’accueil de demandeurs d’asile » et non pas de « la création d’un C.A.D.A. comme beaucoup le pense (sic) car cela existe à Salbris depuis 2004« .
On ne voit pas bien l’intérêt de ce subtil distingo, ce que tout le monde à compris est qu’il existait 16 places en C.A.D.A. depuis 2004 à Salbris, et que 60 places supplémentaires ont été créées dans une extension du Centre sur un nouveau site.
« Cette décision difficile prise avant l’été après obligation prononcée par les services de l’État provoque encore aujourd’hui rumeurs et bruits de couloir‘, croit-il bon d’ajouter. Mais si la décision était déjà prise avant l’été, pourquoi avoir attendu fin septembre pour l’annoncer publiquement suite à des « fuites » auxquelles notre blog a modestement contribué suite à un article publié le 23 septembre, bientôt relayé par un tract pour informer les Salbrisiens.
Et force est de constater que ce que le maire qualifie de « rumeurs et bruits de couloir » s’est avéré être la stricte vérité.
Nous attendons également de sa part une réponse sur ses relations avec l’association Coalia gestionnaire du Centre, afin de savoir si elles ont pu jouer un rôle dans le choix de Salbris.
Enfin, la question du permis de construire en vue d’une extension de la mosquée en lien avec le mouvement Mili Görus ne relève pas non plus des « bruits de couloir » et sur ce point les informations sont toujours aussi difficiles à obtenir.
Salbris : toujours des zones d’ombre sur l’accueil des « migrants ».
La réunion publique, dite d’information, de jeudi dernier n’a pas apporté les réponses attendues.
C’est pourquoi nous allons continuer à informer les Salbrisiens.
Le directeur de Coallia qui est longuement intervenu était en l’occurrence juge et partie, puisqu’il défendait son propre projet et son propre business, s’est trouvé plusieurs fois bien embarrassé, préférant éluder ou détourner certaines questions de l’assistance.
Cela n’a rien d’étonnant quand on fait quelques recherches.
D’abord sur l’insistance de Coallia pour s’installer à Salbris. Le maire prétend qu’il ne pouvait pas s’opposer. Mais depuis quand était-il vraiment au courant ?
Il faut savoir que la directrice des ressources humaines de Coallia, Anne Sophie Sauvage, a été auparavant DRH du Groupe IGS Formation Continue, dont Olivier Pavy fait partie du « conseil scientifique ». Il exerce aussi depuis 2015 une activité libérale dans le domaine de l’enseignement supérieur.
Ces relations ont-elles influé ou facilité le projet de Coallia ?
Deuxième point sur lequel il nous faut revenir, c’est sur la nature de cette association. Car si Coallia se présente bien comme une association, avec 328 « établissements », elle ressemble davantage à un groupe puisqu’elle contrôle plusieurs sociétés anonymes dans le domaine de l’immobilier.
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Centre d’accueil des migrants : réunion publique jeudi 3 novembre à Salbris.
L’information n’a pas été relayée ce matin dans la presse locale, qui préfère consacrer une demi-page à la visite du château de Blois par des immigrés Afghans entrés en France clandestinement !
Le Front National a été le 1er à informer les Salbrisiens du projet d’un centre d’accueil de 60 places pour des migrants.
Le maire a été obligé de confirmer et d’organiser, avec le sous-préfet, une réunion d’information un peu tardive, mettant la population devant le fait accompli.
Cette réunion se tiendra jeudi 3 novembre à 19 heures salle Georges Waquet, 50 boulevard de la République, à Salbris.
Nous devons être nombreux pour exprimer notre opposition et dénoncer l’absence de concertation puisque personne n’a été consulté et que le conseil municipal n’a pas été appelé à se prononcer.
A l’issue de la réunion, nous invitons tous les adhérents et sympathisants à se retrouver pour un repas convivial dans un restaurant à proximité, en présence de nos élus régionaux Michel Chassier, Secrétaire départemental, Mathilde Paris, candidate pré-investie dans la 2ème circonscription, ainsi que Josette Mazoyer, Secrétaire de circonscription.
Inscription obligatoire : fn41@frontnational.com – réglement sur place (15 €).
Centre d’accueil de Salbris : réunion publique le 3 novembre.
Migrants : il faut traiter le problème à la source, pas à Salbris !
Le Front National a été le 1er à informer les Salbrisiens du projet d’un centre d’accueil de 60 places pour des migrants.
Le maire a été obligé de confirmer et d’organiser, avec le sous-préfet, une réunion d’information un peu tardive, mettant la population devant le fait accompli.
Cette réunion se tiendra jeudi 3 novembre à 19 heures salle Georges Waquet, 50 boulevard de la République, à Salbris.
Les Salbrisiens et les Solognots doivent venir nombreux pour poser des questions.
Le projet est d’autant plus mal accepté qu’il n’y a pas eu la moindre information ni la moindre concertation puisque personne n’a été consulté et que le conseil municipal n’a pas été appelé à se prononcer.
On note aujourd’hui dans la Nouvelle République le communiqué embarrassé co-signé par Patrice Martin-Lalande et Guillaume Peltier, se disant rassurés de « la confirmation que, contrairement à ce que chacun pouvait craindre, seuls de véritables demandeurs d’asile seront accueillis à Salbris. »
Non sans rappeler les conventions internationales qui nous obligent à »accueillir sans réserve ceux qui sont reconnus comme de vrais réfugiés politiques. »
Mais c’est bien là qu’il y a tromperie !
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Salbris : questions sur le Groupe Coallia.
Image d’illustration : résidents d’un foyer Coallia.
La mairie de Salbris et les services de l’Etat nous ont informé que le Centre d’accueil de Salbris serait géré par l’association Coallia.
Il vaudrait mieux dire par le « groupe Coallia », anciennement AFTAM, dont le fonctionnement n’est pas sans poser un certain de nombre de questions.
En effet, c’est une association loi de 1901 qui contrôle diverses sociétés, dont Coallia Habitat (Société Anonyme de HLM).
Or une association est un organisme sans but lucratif et la filialisation ne doit pas lui permettre de réaliser indirectement une activité commerciale et de tourner ainsi les règles qui s’imposent à elle.
Au minimum, les deux conseils d’administration doivent être distinct alors que dans le cas de Coallia, le Président et le Directeur Général étaient communs aux deux structures.
Coallia bénéficie d’importantes subventions publiques (41 millions d’euros en 2011).
Dans le Val de Marne, plusieurs associations citoyennes ont dénoncé le fait que certains de ses dirigeants étaient aussi des élus de collectivités qui lui accordent des subventions.
Le rapport des comptes publié par le Journal Officiel laisse apparaître également des rémunérations confortables pour ses dirigeants.
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Migrants à Salbris : ça se précise !
Avant même la réunion du 3 novembre, les choses se précisent à Salbris. Près du centre d’accueil on peut assister ces derniers jours à une noria de camionnettes venant livrer du mobilier et autres matériels.
Il semblerait même que de nouveaux visages soient apparus depuis peu dans les rues de Salbris : les premiers arrivants ?
Suite à l’article publié aujourd’hui dans la Nouvelle République sur les migrants de Calais accueillis à Blois, la population s’inquiète aussi du risque sanitaire.
En effet, certains peuvent être originaires de pays où existent des formes de tuberculose endémique, sans parler d’Ebola du côté du Golfe de Guinée. A tel point qu’un bilan sanitaire doit être effectué à Blois dès l’arrivée des migrants. En sera-t-il de même à Salbris ?
Nous savons en tout cas qui paiera…
Salbris : réunion d’information sur l’accueil des migrants.
Dès le 23 septembre le FN informait les Salbrisiens.
C’est confirmé depuis quelques jours sur le site de la mairie de Salbris, une réunion d’information se tiendra le Jeudi 3 novembre 2016 a 19 heures salle Georges Waquet, cour de la maison de services au public, 50 boulevard de la République à Salbris.
Elle est organisée par le gestionnaire et les services de I’Etat representés par Monsieur le Sous-Préfet de Romorantin-Lanthenay et la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations (DDCSPP)
Curieusement, dans un article publié le 13 octobre dans la Nouvelle République le maire de Salbris, Olivier Pavy, déclare que » l’arrêté préfectoral n’a pas encore été pris [...] Il s’agit une simple réunion d’information à propos du projet de ce centre qui a été imposé à notre commune. »
Alors que le gestionnaire, l’association COALLIA, a été désigné et que des camions viennent ils livrer lits, frigos, mobilier, etc, en grande quantités ?
Les logements sont prêts, les responsable de cette association ne se cachent même pas.
Alors à quoi va servir cette réunion si les Salbrisiens sont mis devant le fait accompli ?
D’après les échos qui nous reviennent, ils devraient tout de même être nombreux à venir demander des comptes.
Salbris : le Front National aux côtés de la population.
Une nouvelle fois, les militants du Front National étaient présents ce samedi sur le marché de Salbris, en présence de Michel Chassier, Secrétaire départemental et Conseiller régional de Loir et Cher, pour rencontrer les salbrisiens et continuer la distribution du tract dénonçant la création d’une centre d’accueil pour les « migrants » et l’extension de la mosquée.
Rappelons que le Front national a été le 1er à informer la population de ce projet préparé dans la plus grande discrétion (*).
Le maire avait été contraint d’admettre son existence lors d’un conseil municipal le 26 septembre.
Ensuite nous avons commencé à diffuser un tract, provoquant les réactions violentes du maire de Salbris et du président de l’Association d’entraide franco-turque de Salbris, qui annonce un dépôt de plainte (?) mais dont les déclarations à la Nouvelle République publiées le 13 octobre confirment ce que nous disions.
Au passage il affirmait au sujet de Rêve d’exil « c’est juste le nom qu’avait donné l’ancien propriétaire au pavillon que nous utilisons. » Faux : c’est la nom d’une société créée par Omer Fidan, inscrite au Registre du Commerce et des Sociétés de Romorantin, aux termes d’un acte reçu le 28 octobre 2000 par Me Gérard Pavy notaire à Salbris.
Et ce n’est pas la seule société gérée par l’intéressé, nous sommes prêts à tout mettre sur la table.
Voilà pourquoi il était important que nous soyons présents publiquement à Salbris pour démontrer que c’est bien nous qui disons la vérité, et que nous ne laisserons intimider ni par les insultes, ni par les menaces.
Nous avons appris que le maire de Salbris avait également fait un tour sur le marché, mais nous ne l’avons pas croisé. Dommage, il aurait pu répondre à nos questions, et nous présenter ses excuses pour ses propos outranciers tenus dans les colonnes de la Nouvelle République.
L’accueil a été favorable à plus de 90%, démontrant s’il le fallait l’opposition des Salbrisiens à l’arrivée des migrants.
Au passage nous avons appris le recrutement d’une directrice et de quatre personnes pour gérer le centre d’accueil, à l’heure où les EPHAD manquent de personnel !
Et les Salbrisiens nous ont signalé également que la plupart des travaux étaient effectués par des entreprises extérieures.
Prochain épisode : la réunion publique du 3 novembre annoncée par la mairie alors que l’affaire est déjà « bouclée ». Nous invitons les Salbrisiens à s’y rendre massivement.
(*) chronologie rappelée dans Mag’Centre. Pour être tout à fait complets, ajoutons que le même Guillaume Peltier qui fait signer une pétition contre l’arrivée des migrants à Salbris a refusé de voter le voeu déposé eu Conseil régional par le groupe FN ‘Ma région sans migranrs ».
Salbris : qui incite à la haine ?
Depuis quelques jours certains multiplient les propos incendiaires et les calomnies à l’encontre du Front National.
Son tort ? Avoir posé au grand jour deux questions gênantes.
Au lieu de répondre le cas échéant par un démenti ou des précisions, le maire et le président de l’association qui gère la mosquée versent dans l’invective au risque de susciter les tensions dans la Ville.
Ce qui n’a pas manqué de se produire rapidement : ce matin M. Omar Fidan a croisé un militant du Front National sur un trottoir de Salbris, et n’a rien trouvé de mieux à faire que lui cracher au visage !
Ce qui démontre bien de quel côté se situe la haine.
La victime a déposé plainte auprès de la Gendarmerie.
Il serait temps maintenant de calmer le jeu et de répondre précisément aux questions posées.
Nous appelons également à la modération sur les commentaires.
Salbris : tract-pétition du Front National contre l’installation des migrants.
(cliquez sur l’image pour agrandir)
L’arrivée de 60 migrants à Salbris, qui se préparait dans la plus grande discrétion, a été annoncée publiquement grâce à l’action du Front National.
Massivement les Salbrisiens et les Solognots s’y opposent.
Un tract est en cours de diffusion pour recueillir les signatures des opposants au projet.
Vous pouvez également le télécharger dès maintenant et le faire suivre largement : Salbris migrants.
Attention : Patrice Martin-Lalande et Guillaume Peltier ont le culot de lancer une pétition alors qu’ils portent une lourde responsabilité dans l’arrivée des migrants en France, puisque tous deux sont de fervents défenseurs de l’Union européenne, qui oblige la France à prendre 30 000 migrants, dont certains seront hébergés à Salbris.
En même temps, ils reprochent aujourd’hui à Valls et Cazeneuve de faire la même que Sarközy lorsqu’il fermé Sangatte.
Partout en France les élus LR refusent de signer la charte « ma commune sans migrants« .
Leur pétition est donc une supercherie, il faut le faire savoir le plus largement possible, et ne pas hésiter à leur faire savoir.
Mise à jour du 8 octobre : notre tract a été remis en mains propres au maire de Salbris, Olivier Pavy ce matin. Il a tenté de faire diversion en affirmant que le terrain auquel nous faisions allusion pour le Centre culturel musulman avait été acquis en vue d’une extension du carrefour Market. Or, il s’agit bien de deux terrains différents : un terrain a bien acquis selon nos informations en prolongement du terrain de la mosquée actuel.
Les Salbrisiens en sauront peut-être davantage, le maire nous a promis une réunion d’information le 3 novembre.
Affaire à suivre….
Loir et Cher : les premiers migrants arrivent.
Progressivement, les nouvelles nous parviennent au sujet de l’arrivée des migrants, en dépit de l’omerta des autorités.
Nous avons confirmation d’une deuxième source pour les anciens logements de la Gendarmerie rue du Lieutenant Godineau à Blois, comme pour Salbris (ancienne Gendarmerie).
Pour Blois, le chiffre annoncé serait de 60.
A Salbris, 4 personnes seraient arrivées et une vingtaine sur le point de les rejoindre.
Nous aurons confirmation bientôt, nos correspondants locaux veillent.
Migrants en Loir et Cher : bataille des chiffres et point de la situation.
La Nouvelle République publie partiellement le communiqué du Front National de Loir et Cher dans son édition du 4 octobre, tout en voulant rassurer sur le nombre attendu.
La rédaction a donc interrogé la préfecture, qui ne fait que redire les chiffres du ministère de l’Intérieur qui avaient « fuité » dans la presse à mi-septembre, donc 580 migrants supplémentaires à répartir sur 6 départements.
Mais lorsque le Front national annonce « plusieurs centaines de migrants », c’est qu’il faut ajouter aux 9 000 clandestins de la jungle de Calais les 30 000 que la France se voit imposer par Bruxelles ! Nous publions ci-dessous le texte complet du communiqué.
S’ils sont répartis dans les mêmes proportions, cela fera environ 2 700 pour la région Centre-Val de Loire.
Devant le refus des populations qui n’ont pas envie de subir ce nouvel afflux d’immigrés à charge de la collectivité au moment où les Français subissent les pires difficultés, les autorités ont choisi la politique du silence et du fait accompli.
C’est raté. Le Front National va se charger d’informer les Loir-et-Chériens.
Nous demandons à nos lecteurs de nous transmettre toute information qui leur parviendrait sur l’arrivée de « migrants » dans leur commune (par mail fn41@frontnational.com). Bien sûr il peut aussi y a voir des rumeurs, mais nous vérifierons avant d’alerter, comme nous l’avons fait avec succès à Salbris où désormais la population est au courant de ce qui se tramait en douce.
Nous apprenons ainsi qu’à Blois une partie des logements laissés par la Gendarmerie rue du Lieutenant Godineau seraient déjà prévus pour l’accueil de « migrants ». Nous allons poser la question au maire.
Communiqué du FN41
Combien de « migrants » en Loir et Cher ?
« Le Loir et Cher est mis lourdement à contribution pour l’accueil des migrants de Calais, sans que les populations soient consultées.
Après la ville de Blois, l’information est confirmée pour Salbris, peut-être Avaray et ce n’est sans doute pas fini.
N’oublions pas qu’en plus des 9 000 migrants de la « jungle » de Calais, ce sont 30 000 demandeurs d’asile entrés clandestinement en Europe en forçant les frontières que la France devra accueillir à nos frais en 2 ans, sur ordre de Bruxelles.
Cela pourrait faire plus de 2 700 pour la Région Centre- Val de Loire, plusieurs centaines en Loir et Cher.
Cette opération se fait avec la complicité de tous les élus qui ont choisi d’abandonner notre souveraineté au profit de l’Union Européenne, même si certains protestent çà et là lorsque leur commune est touchée.
Rappelons-nous qu’il y a un an Jean-Pierre Raffarin, figure emblématique des « Républicains » prônait déjà cette solution afin de « revitaliser nos campagnes ».
Le monde rural frappé par une crise sans précédent appréciera.
Le Front National demande au Préfet de Loir et Cher d’informer les maires et les populations.
Il demande aux maires concernés d’organiser systématiquement une réunion publique d’information et si nécessaire un référendum local.
Il les invite à signer la charte « ma commune sans migrants » lancé par Steeve Briois, maire de Hénin Beaumont.
Les Loir et Chériens ne doivent pas subir les conséquences désastreuses des politiques menées depuis des années par Nicolas Sarkozy comme par François Hollande.
Dans les semaines qui viennent, le Front National de Loir et Cher va multiplier les actions pour alerter la population. »
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