Les vidéos des interventions de vos élus lors des sessions plénières d’avril et de mai sont en ligne sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire et sur notre chaîne Youtube.
Nous vous invitons à vous y rendre pour les réécouter. Vous pourrez constater par vous-même le travail de nos élus.
Nous mettrons en ligne sur notre blog les interventions des élus de Loir et Cher.
Plan régional de santé : l’intervention de Michel Chassier
Plan régional de santé : les élus FN dénoncent une mascarade.
Un an après l’élection de Macron, ses méthodes suscitent un rejet grandissant de part des élus locaux en charge des collectivités.
Méconnaissance des territoires, mépris pour les élus, engagements bafoués, décisions imposées, mise sous tutelle budgétaire, la coupe est pleine et l’on grandir une véritable fronde qui dépasse tous les clivages politiques.
Nous évoquions il y a quelques jours la colère de Marc Gricourt, maire de Blois, hier c’est au Conseil régional que les élus, toutes tendances confondues, ont dénoncé cette ignorance des territoires qui va toucher une fois encore la ruralité et les villes moyennes.
Lors de la conférence des présidents avant l’ouverture de la séance François Bonneau, président de Région, Jean-Patrick Gilles (groupe SRD), Guillaume Peltier (groupe UDC), Michel Chassier (groupe FN) et Patrick Fournier (groupe Ecologiste) ont tous fait le même constat.
Au cours débat Guillaume Peltier a parlé de « mépris pour nos territoires« , François Bonneau a souligné les insuffisances du PRS au regard de la situation de la Région, classée dernière pour le nombre de médecins par habitants et demandé des aménagements.
Mais à quoi bon ? Puisque le Plan régional de Santé a déjà été adopté le 29 mars, et que le Conseil régional était appelé simplement à donner un avis consultatif… alors que la décision est déjà prise !
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Plan Régional de Santé : les élus FN demandent que les élus soient consultés.
Michel Chassier il y a un an lors d’un débat sur la santé à Blois.
Alors que la mobilisation se poursuit pour dénoncer la suppression de lits et de postes à l’hôpital de Blois, Michel Chassier, Président du groupe FN au Conseil Régional Centre-Val de Loire, avait écrit le 5 mars au Président Bonneau au sujet du Plan Régional de Santé, qui doit être voté le 29 mars par la Conférence régionale de la santé et de l’autonomie (CRSA), avant que les élus n’aient la possibilité d’en débattre. Il demandait que le sujet soit évoqué lors de la commission permanente du 16 mars.
En même temps, un communiqué a été envoyé à la presse régionale, qui dans un premier temps n’a pas réagi, jusqu’à ce que la Nouvelle République le publie 10 jours après, le 15 mars.
Presque aussitôt le cabinet du Président faire répondre à Michel Chassier, par un mail envoyé à 9 h 59 le 15 mars, accompagné d’une lettre datée du 14, que le sujet serait bien abordé en Commission permanente
Il a toutefois fallu attendre la dernière minute de la réunion, sur insistance de l’élu FN, pour obtenir enfin une réponse.
En définitive le Président Bonneau s’est engagé à ce que les 3 représentants de la Région au CRSA ne prennent pas part au vote, en attendant que l’assemblée en délibère en Session plénière le 22 avril.
Il serait souhaitable qu’il en soit de même pour les Conseils départementaux, afin qu’il y ait un véritable débat public avant l’adoption du PRS, sur lequel les élus ne seront sollicités qu’après coup… pour donner un avis purement consultatif, les choses étant déjà décidées.
Plan Régional de Santé : les élus régionaux seront-ils consultés ?
Les militants du FN41 devant l’hôpital de Blois le 25 mars 2017 pour faire connaître les engagements de Marine le Pen dans le domaine de la santé ( Joëlle Mélin).
Le 29 mars la Conférence régionale de la santé et de l’autonomie (CRSA) doit se prononcer sur le 2ème Plan régional de santé.
Les grandes lignes sont déjà connues, avec toujours davantage de mesures d’économies, suppressions de lits, fermetures des services ou des hôpitaux de proximité.
A Blois des médecins se sont regroupés dans un collectif pour proposer d’autres solutions (la Nouvelle République du 1er mars 2018)..
Les élus locaux, les syndicats et certains partis de gauche protestent et annoncent des manifestations.
Le Conseil régional n’a toujours pas été appelé à se prononcer, ce sera peut-être pour la session du mois d’avril, mais alors le PRS sera déjà voté, et les trois représentants de la Région auront voté le 29 mars sans avoir reçu mandat de l’assemblée.
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Hôpital public menacé : il ne fallait pas voter Macron !
Le 29 mars la Conférence régionale de la santé et de l’autonomie (CRSA) doit se prononcer sur le 2ème Plan régional de santé.
Les grandes lignes sont déjà connues, avec toujours davantage de mesures d’économies, suppressions de lits, fermetures des services ou des hôpitaux de proximité.
A Blois des médecins se sont regroupés dans un collectif pour proposer d’autres solutions.
Il faut dire qu’il est prévu pour l’hôpital de Blois la suppression de 11 lits en maternité dès le printemps 2018, en attendant une restructuration encore plus radicale (la Nouvelle République du 1er mars 2018)..
Les élus locaux, les syndicats et certains partis de gauche protestent et annoncent des manifestations.
Pourtant ils auraient dû s’y attendre, ces nouvelles mesures étaient annoncées il y a un an par M. Macron.
Pour défendre l’accès à la santé et l’hôpital public, ils avaient le choix de voter pour Marine Le Pen.
C’est bien ce qui explique l’échec des mouvements de protestation depuis la rentrée dernière : comment ceux-là même qui ont appelé à voter Macron peuvent-ils mobiliser pour combattre des réformes qui étaient annoncées ?
Nous serions intéressés par contre de connaître la position des élus locaux membres du CRSA qui auront à se prononcer le 29 mars sur la Plan régional de santé.
Vous pouvez consulter la liste des membres du CRSA et poser la question directement à vos élus en leur écrivant à : ARS Centre-Val de Loire – Cité Coligny – 131 rue du faubourg Bannier – BP 74409 – 45044 ORLEANS CEDEX 1.
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Plan régional de santé : le Front National en alerte.
Michel Chassier intervient sur le PRS à Bourges en 2012.
Le Plan Régional de Santé est élaboré par l’Etat afin de définir l’organisation territoriale des services de santé et les moyens correspondants.
Sa dernière révision date de 2012, le projet pour le futur PRS doit être présenté le 6 décembre.
Déjà certains syndicats de la santé et de l’action sociale appellent à manifester.
Il faut dire que dans l’optique de M. Macron, le budget de la Sécurité sociale est appelé à contribuer à la réduction des déficits publics alors que l’Etat diffère toujours son propre effort.
Il faut donc s’attendre à un nouveau programme d’économies, à la fermetures d’hôpitaux de proximité, à la réduction des budgets. Sous la pression de l’UE, l’objectif est de supprimer en France 22000 postes dans la fonction publique hospitalière et 16000 lits.
Rappelons que le Conseil régional est consulté simplement pour émettre un avis.
En 2012, c’est le Front National qui est parvenu à faire changer l’avis de la Région, puisque le président Bonneau avait proposé un avis « favorable avec réserves« . Seul le Front National avait logiquement proposé un avis défavorable, en reprenant les critiques formulées par la majorité dans le rapport de présentation.
Après une suspension de séance, François Bonneau s’est rallié à notre point de vue. Seul le groupe de la Droite et du Centre avait maintenu un avis favorable.
Une fois plus cela démontre la perspicacité, la cohérence et l’efficacité de nos élus, qui n’étaient pourtant que sept à l’époque.
Après la CSG, les APL, le forfait hospitalier.
Durant la campagne présidentielle, Marine avait prévenu… et présenté d’autres solutions.
Exécutant fidèlement les ordres de ceux qui l’ont placé à l’Elysée, après avoir augmenté la CSG et diminué les APL, M. Macron va augmenter le forfait hospitalier de deux euros par jour.
De petite mesure en petite mesure, c’est bien le pouvoir d’achat des plus modestes qui va en souffrir.
Et pendant de ce temps-là l’Aide Médicale d’Etat accordée à des étrangers y compris clandestins qui n’ont jamais cotisé coûter désormais plus d’un milliard d’euros par an. Mais ce sont les Français qui vont se serrer la ceinture.
Lire le communiqué du Front National :
« La ministre de la Santé Agnès Buzyn a annoncé dimanche les mesures qu’elle entendait mettre en place pour réduire de 30% les dépenses de la sécurité sociale qu’elle juge « non pertinentes ». Comme toujours, ce sont les patients qui auront à souffrir des coupes claires et de l’austérité de la politique économique du gouvernement.
Lire la suite sur le site du Front National.
Aides-soignants menacés aux urgences de Blois : l’agresseur au casier judiciaire chargé laissé en liberté.
Centre hospitalier de Blois.
L’info est publiée sur le site Internet de la Nouvelle République : un « Blésois de 43 ans » était jugé cet après-midi en comparution immédiate pour avoir menacé deux aides-soignants dans la nuit de samedi à dimanche au centre hospitalier de Blois.
D’après ses explications, sa compagne refusait d’être examinée par un homme.
Les agents de sécurité ont dû intervenir une première fois pour le faire sortir, mais l’individu, qualifié de « trublion » par la NR, est revenu dans la nuit et il a menacé deux agents hospitaliers dont une femme aide-soignante.
Cette fois c’est la Police qui est intervenue pour interpeller l’excité.
« Compte tenu des faits et d’un casier judiciaire chargé« , le procureur de la République a requis six mois d’emprisonnement assortis d’un mandat de dépôt.
Mais l’avocat de la défense a expliqué que son client vivait « une situation très compliquée » et plaidé pour qu’il ne soit pas incarcéré.
Le prévenu, dont la NR protège l’anonymat, a été condamné à six mois de prison ferme mais le mandat de dépôt n’a pas été délivré.
L’homme est condamné à verser 850 euros aux deux agents hospitaliers. Il est permis de douter là aussi de l’exécution de cette sentence.
En résumé une peine de prison qui ne sera pas exécutée, une indemnisation moins que certaine, un agresseur dont l’identité est tenue secrète, et pas un mot sur les causes de cette agression : de toute évidence le fondamentalisme islamique. Prêché à Blois dans quelle mosquée ? Le lecteur n’en saura rien.
Surtout pas de vague. Et pas d’amalgame !
#Marine2017 : Joëlle Mélin à La Chaussée Saint Victor.
Joëlle MÉLIN, députée ENL au Parlement européen, membre de la Commission de l’emploi et des affaires sociales, docteur en médecine, membre du conseil stratégique de Marine Le Pen, était aujourd’hui en Loir et Cher pour tenir une rencontre-débat à la Chaussée Saint Victor.
La santé est enjeu majeur pour nos compatriotes confrontés à la difficulté d’accès aux soins, aux problèmes de prise en charge insuffisante (dentaire, optique), à la désertification médicale en milieu rural, à la question du vieillissement de la population.
On pouvait compter dans le public plusieurs professionnels de sante mais aussi des citoyens qui sont tous intéressés par les différents volets de la politique sociale (santé, retraite, dépendance, enfance, handicap).
Dans un exposé très clair Joëlle Mélin est parvenue à brosser un tableau général de la situation, insistant sur les points clefs.
Il ressort bien évidemment qu’il ne faut pas compter sur nos adversaires pour apporter des solutions, puisqu’ils ont tous une part de responsabilité et proposent pour beaucoup des solutions qui ne feraient qu’aggraver la situation.
Le Dr Joëlle Mélin a ensuite longuement répondu aux questions des auditeurs.
Dommage que la presse locale n’ait pas souhaité couvrir cette événement de campagne.
#Marine2017 : rencontre sur la santé avec Joëlle Mélin samedi 25 mars
Joëlle MÉLIN, députée ENL au Parlement européen, membre de la Commission de l’emploi et des affaires sociales, docteur en médecine, membre du conseil stratégique de Marine Le Pen, sera en Loir et Cher pour tenir une rencontre-débat à la Chaussée Saint Victor le samedi 25 mars à 14 heures.
La santé est enjeu majeur pour nos compatriotes confrontés à la difficulté d’accès aux soins, aux problèmes de prise en charge insuffisante (dentaire, optique), à la désertification médicale en milieu rural, à la question du vieillissement de la population.
Aujourd’hui les personnels soignants souffrent également des contraintes budgétaires qui rendent plus difficile que jamais l’exercice de leur profession et pénalise les malades.
9 engagements de Marine le Pen concernent la santé des Français (engagements 65 à 73) : garantie de prise en charge, accès aux soins, médecine de proximité, contrôle du prix des médicaments, création d’un risque dépendance pour les personnes âgées etc…
Venez en parlez avec Joëlle Mélin, docteur en médicine, spécialiste en gériâtrie, diplômée en médecine du sport, diplôme de spécialité de rééducation et réadaptation fonctionnelle, expert judiciaire médical.
Avec Marine Le Pen, faisons de la santé un enjeu majeur de la campagne présidentielle.
#Marine2017 : la santé en questions.
Dans le cadre de l’élection présidentielle, la Mutualité française Centre-Val de Loire et le Club de la presse Centre-Val de Loire organisaient un débat public ce matin à Blois.
Les représentants de quatre candidats avaient répondu présent : le député Denys Robiliard pour Benoît Hamon, le député Jean-Pierre Door pour François Fillon, l’ancien parlementaire et maire de Bourges, ancien ministre Serge Lepeltier pour Emmanuel Macron (*) et enfin Michel Chassier, président du groupe FN au conseil régional Centre-Val de Loire pour Marine Le Pen.
Devant les représentants de la mutualité, des différentes professions médicales mais aussi de simples citoyens usagers de la santé, les représentants des candidats ont été interrogés sur leurs programmes respectifs.
Si les mesures proposées par Marine Le Pen n’ont pas été critiquées, la première question posée à Michel Chassier a porté sur leur financement.
Réponse évidente : cette question dépasse le seul budget de la la Sécurité sociale, mais les économies réalisées sur les intérêts d’emprunt par un retour au financement de l’emprunt par la Banque de France, sans intérêts, ainsi que la renégociation avec l’Union européenne qui nous coûte 9 milliards d’euros par an permettront de mieux financer le système de santé. Signalons au passage que les intérêts sur la dette sociale représente à eux seuls 6 à 7 milliard d’euros par an.
Interrogé sur la prévention, le représentant de Marine Le Pen a rappelé que c’était un point important des propositions de notre candidate, incluant la sécurité alimentaire et les question environnementales , comme l’usage abusif de certains pesticides. Michel Chassier a souligné au passage la contradiction entre la prévention et les propositions de certains candidats sur la légalisation du cannabis.
Interrogé plus tard par un autre participant, il a insisté sur le rôle de la prévention à l’école, et le rôle des tous les auxiliaires de santé, particulièrement les infirmiers et infirmières qui souffrent aujourd’hui de conditions de travail de plus en plus difficiles, en raison d’une tarification à l’acte dans les hôpitaux qui entraîne un véritable chronométrage, incompatible parfois avec une prise en charge digne du partient.
Enfin sur les « déserts médicaux », Michel Chassier a rappelé la question du numérus clausus, mais aussi les politiques qui aboutissent au phénomène de métropolisation qui ne touche pas que les professions médicales, mais tout le tissu des services de proximité. Nos principaux concurrents ne semblent pas enclins à inverser cette politique.
L’élu FN a rappelé également que le groupe,FN avait été le seul à contester la Plan régional de l’ARS que la majorité de gauche s’apprêtait à approuver en 2012 avec le soutien de la droite et du centre.
L’intervention décisive de Michel Chassier avait obligé la majorité à modifier sa position et à donner un avis défavorable. Mais ce n’était qu’un avis…
Sans être un spécialiste de la question, le représentant de Marine Le Pen a permis à notre candidate de voir ses propositions défendues dans le débat. C’était encore une première !
(*) on notera une fois de plus que le représentant de « en marche » était un vieux routier de la politique (ancien conseiller général, 2 fois conseiller régional, 2 fois maire, député puis sénateur, ministre… 38 ans de vie politique sans interruption. Pas vraiment le symbole du renouvellement !
Légalisation du cannabis : démagogique et irresponsable.
Le cannabis : une nocivité avérée, un danger majeur pour la santé des jeunes.
La Nouvelle République a choisi d’ouvrir le débat présidentiel par une question… sur le cannabis !
Dans son édition du 21 mars, elle consacre deux pages entière au sujet, donnant largement la parole aux partisans de la légalisation ou de la dépénalisation.
Or, comme le rappelle Michel Chassier, résumant la position de Marine Le Pen, toutes les études sur les effets du cannabis, particulièrement pour les consommateurs les plus jeunes, vont dans le même sens et sont alarmantes. Les effets nocifs pour le cerveau, parfois irréversibles, sont incontestables.
L’argument qui consiste à dire qu’il faudrait légaliser parce qu’il y a plusieurs millions de consommateurs est stupide. Il y a aussi plusieurs millions de vols et de cambriolages chaque année, faut-il pour autant légaliser le vol ?
Réponse de Michel Chassier dans la Nouvelle République du 21/03 :
« Michel Chassier, secrétaire 41 FN, pour Marine Le Pen : « Toutes les études confirment le lien entre consommation de cannabis, accoutumance aux drogues dures et apparition de troubles psychotiques. L’augmentation régulière du taux de THC en fait désormais une drogue dure qui provoque des ravages, particulièrement chez les adolescents. La dépénalisation serait une folie, une promesse démagogique et irresponsable. Les gouvernants qui se sont succédé depuis 30 ans n’ont pas pris la mesure du phénomène et n’ont pas su endiguer l’augmentation du nombre de consommateurs, laissant se développer une économie parallèle parfois considérée comme une soupape de sûreté pour éviter l’embrasement des quartiers dits sensibles. Marine Le Pen préconise la tolérance zéro pour les marchands de mort. »
#Marine2017 : débat sur la santé à Vinomania
Marine Le Pen devant le collectif santé en décembre 2016.
Dans le cadre de l’élection présidentielle, la Mutualité française Centre-Val de Loire et le Club de la presse Centre-Val de Loire organisent un débat public mercredi 22 mars, à 10 h.
Des représentants locaux de candidats ainsi qu’un panel d’acteurs de santé, institutionnels, associatifs et professionnels participeront aux échanges. Marine le Pen sera représentée par Michel Chassier, Conseiller régional de Loir et Cher et candidat aux législatives dans la 1ère circonscription.
Ouvert à tous. Restaurant Vinomania, 12, rue du Poids-du-Roi, à Blois.
Nous en profitons pour rappeler la rencontre-débat organisée samedi 25 mars à 14 h 00 à la Chaussée Saint Victor avec Joëlle Mélin.
Retrouvez également le discours de marine le Pen devant le collectif santé le 9 décembre 2016 :
Désertification médicale : quelles solutions ?
La Nouvelle République consacre aujourd’hui une double-page à un sujet qui préoccupe à juste titre les habitants de nos départements : la désertification médicale.
Au passage une large place est accordée au candidat Denys Robiliard pour faire un constat dont tous les éléments sont sur la place publique, l’Agence Régionale de Santé aurait pu fournir les mêmes chiffres.
En ce qui concerne les solutions, chacun reconnaît que le sujet est complexe, mais on peut observer que les médecins ne font après tout que suivre une tendance générale qui pousse tous les jeunes diplômés à se concentrer dans les agglomération importantes ou les métropoles.
Au-delà des opportunités professionnelles ils y trouvent davantage de services, des établissements scolaires pour leurs enfants, une offre commerciale plus importante, mais aussi une offre culturelle et une vie associative et sportive etc…
L’évolution du mode de vie doit aussi être prise en compte, plus de 50% des étudiants en médecine sont aujourd’hui des femmes et les nouveaux médecins acceptent de moins en moins les journées à rallonge qui étaient le lot de leurs aînés généralistes, à la ville comme à la campagne.
Plusieurs réponses ont été proposées, mais qui ne parviennent pas suffisamment à enrayer le phénomène.
Les maisons médicales présentent bien sûr un intérêt, à condition que le projet soit bien étudié et porté par des professionnels de santé. Il ne suffit de bâtir un centre pour attirer des médecins, certaines communes en ont fait l’expérience malheureuse, il y en aura certainement d’autres.
Au passage Denys Robiliard done raison au Front national en avouant que le zone franche urbaine à Blois à provoqué « un effet d’aubaine manifeste« . Nous le disons depuis le départ, alors que les élus LRPS ont toujours soutenu ce projet !
Des mesures sont prises également au niveau départemental et régional. Notre élue d’Indre et loire, Véronique Péan était intervenue pour modifier le périmètre et les critères des aides à l’installation en zone rurale.
Mais il y a aussi un problème de fond qui n’est jamais abordé, c’est le devenir de la médecine libérale, dont l’exercice devient de plus en plus difficile.
Les médecins deviennent progressivement des auxiliaires de Sécurité Sociale, qui leur a transféré une grande partie des tâches administratives et leur impose en outre une véritable mission de contrôle avec objectifs financiers à la clé.
Résultat, 70% des jeunes médecins choisissent d’être salariés.
Dans ce débat la gauche a toujours vu d’un mauvais oeil la médecine libérale, et tout fait par la fonctionnariser, tout en maintenant un numérus clausus qui ne permet pas à terme le renouvellement des médecins qui partiront en retraite.
Sous la pression Marisol Touraine vient d’ouvrir 478 places supplémentaires, réparties sur 22 facultés de médecine, ce qui signifie au mieux 478 médecins supplémentaires dans 10 ans.
Autre conséquence un quart environ des nouveaux médecins ont obtenu leur diplôme hors de France, sans toujours posséder le même niveau de formation que leurs homologues Français.
Dans cette profession aussi, nous assistons à une forme de dumping social, en particulier pour les médecins en milieu hospitalier, où nous voyons des praticiens venus de l’étranger accepter des conditions de salaires inférieures.
Pour en revenir à la désertification médicale, la gauche en arrive à envisager des mesures coercitives, comme l’avoue Denys Robiliard.
Les élus Front National s’y sont toujours opposés au Conseil régional. De telles mesures risqueraient au contraire de détourner davantage les jeunes du choix de la médecine générale.
Marine Le Pen fera très prochainement connaître ses intentions dans ce domaine sensible.
Soutien financier pour la Maison de Santé de Contres : un cadeau de Noël qui se fait attendre !
Photo Plus FM – Inaugurée en décembre dernier par la ministre de la Santé, la maison de santé de Contres attend un soutien financier de l’ARS pour ses actions menées.
La moutarde est en train de monter au nez des professionnels de santé de la maison de santé de Contres. Plus de six mois après l’inauguration de la structure, ils déplorent que celle-ci n’ait pas encore obtenu d’aide financière pour les actions qu’elle mène et par rapport à l’organisation mise en place.
Conscients d’une pénurie de la médecine générale en région Centre et plus particulièrement en Loir-et-Cher, des professionnels de santé se sont regroupés en maison médicale pour rendre plus attractives leurs pratiques. Ainsi, une partie des acteurs de santé de Contres ont réfléchi sur leur mode de fonctionnement depuis 2007. Avec l’aide de la communauté de communes du Controis, du département et de l’État, ils se sont regroupés dans la maison de santé de Contres depuis décembre 2013.
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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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