Ce jeudi 14 avril 2018, la France Insoumise a distribué à la sortie de gare de Blois-Chambord un tract pour dénoncer la réforme de la SNCF. Malheureusement, pour eux, à la lecture de ce tract nous pouvons que constater que la France Insoumise n’a pas actualisé ses fiches liées à la dernière réforme ferroviaire de 2015. Il dénonce que la SNCF va mal car celle-ci est scindée en deux entreprises : RFF d’un côté et de l’autre la SNCF. Mais depuis, le 1er juillet 2015, RFF a été réintégré dans le giron de la SNCF. La dernière réforme a consisté à la création de trois EPIC (Etablissement public à caractère industriel et commercial) de la façon suivante :
- SNCF, EPIC de tête
- SNCF mobilité s’occupant de la gestion du trafic et de l’infrastructure des gares et atelier de maintenance
- SNCF Réseaux (dont RFF) s’occupant de l’entretien du réseau
Cette erreur sur le tract de la France insoumise permet de faire tomber les masques. Ils ne viennent pas soutenir la cause de cette belle entreprise française la SNCF mais essaent de faire de la récupération politique. En tout cas, les cheminots qui ont pris le tract ont du se demander comment un parti politique se disant proche des syndicats puisse être aussi déconnecté de cette réforme.
Nous reviendrons plus longuement sur la réforme de la SNCF dans de prochains articles afin d’expliquer les inquiétudes des cheminots.
Au passage, le nombre de trains circulant en gare de Blois est bien en deçà des chiffres avancés par les médias : tous trains confondus (TER, Intercités), sur 24 trains entre Tours et Orléans, seulement 3 circulent le vendredi 13, soit 1 train sur 8.
SNCF : les mélenchonistes font de la récupération, mais ils sont en retard d’un train !
Billets SNCF gratuits : la paille et la poutre.
Interrogé sur une station de radio, le député de Loir et Cher Guillaume Peltier (LR) déclare fièrement : « il faut supprimer les billets de train gratuits des cheminots !«
Ce à quoi un auditeur lui répond du tac au tac « en tant que député, vous avez aussi des billets gratuits.«
A court d’arguments, le dépité lui répond « ne cédons pas à la démagogie« .
Ben voyons !
Du coup, faut-il comprendre que Guillaume Peltier soutient la réforme de la SNCF ? Alors qu’il prétend co-gérer la Région Centre-Val de Loire de Loire avec François Bonneau (PS), il ne reste plus qu’à rejoindre le gouvernement. Ce ne serait qu’un revirement de plus.
Zones défavorisées, rapport Spinetta : ils maudissent les effets dont ils chérissent les causes !
Les élus régionaux ont été unanimes pour voter deux voeux à l’adresse du gouvernement.
L’un portait sur le maintien des zones défavorisées simples, qui conditionnent le versement des indemnités compensatoires de handicap naturel et donc la survie de nombreux exploitants, en particulier des éleveurs.
Le second visait à défendre les lignes ferroviaires « du quotidien », autrement dit les petites lignes jugées non rentables et condamnées au nom de l’ouverture à la concurrence.
Les élus du groupe FN avait assuré le Président de Région de leur soutien à ces voeux. Le groupe UDC avait été de jouer « perso » en déposant deux voeux sur les mêmes sujets. Ils ont finalement préféré les retirer.
Cela dit, nous ne sommes pas dupes. Comme nous l’avons déjà dit la question des zones défavorisées résulte d’une décision de Bruxelles, et la carte définitive ne sera connue, en principe le 1er mars, qu’après validation par la Commission européenne. Or le Président souhaitait, dans un rapport présenté au cours de la même session, donner encore plus de pouvoirs à l’Union européenne. D’où l’observation de Charles de Gevigney : « ils maudissent les effets dont ils chérissent les causes« .
Nous aurions pu faire la même réflexion sur le ferroviaire, puisque la fermeture annoncées des lignes secondaires résulte de la mise en concurrence imposée par Bruxelles.
C’est Michel Chassier qui est intervenu sur le sujet, en expliquant comment la mise en concurrence s’opposait au principe même du service public, qui repose sur la notion de péréquation : les lignes rentables financent celles qui ne le sont pas.
Si l’on appliquait les conclusions du rapport Spinetta à tous les transports en commun, même le métro parisien ne roulerait plus !
Sans parler de la Poste, qui devrait abandonner la distribution du courrier en zone rurale.
On voit bien à quel point Macron est soucieux de suivre la feuille de route qui lui a été assignée par ses commanditaires. A vrai dire il n’a guère le choix, car les mêmes qui l’ont fait élire grâce aux médias qu’ils contrôlent peuvent demain le faire tomber s’il ne respectait pas ses engagements.
Lire la réponse de Michel Chassier sur le site du Groupe FN-CVL.
Stationnement à Blois : ça se gâte pour les usagers de la gare.
Depuis l’ouverture de la passerelle, les usagers de la SNCF sont de plus en plus nombreux à se garer du côté ouest, pour éviter d’ajouter le prix du stationnement au prix du billet.
Résultat, le parking aménagé à la lace de l’ancienne rotonde est saturé et le stationnement déborde sur les rues avoisinantes, au grand déplaisir des riverains.
Un terrain privé appartenant à la SNCF était jusqu’ici ouvert et largement utilisé.
Désormais il est fermé, ce qui ne va pas améliorer la situation.
On sait qu’à terme le stationnement va être revu du côté ville sur le parvis de la gare et l’ancien emplacement de la SERNAM, la collectivité va être sollicitée, pour réaliser au final un nouveau parking payant que les usagers vont chercher à éviter.
Nous pensons que l’on ne peut pas à la fois inciter les gens à prendre le train et les taxer parce qu’ils laissent leur voiture.
L’automobiliste est décidément un bon contribuable : il paie das impôts quand il achète sa voiture, son carburant, quand il roule (péages) et quand il stationne ! Sans parler des radars : 3 en moins de 10 kilomètres sur la D952 entre Onzain et Blois sur la levée de la Loire.
Contrat de Plan : l’état ne tient pas ses engagements.
L’affaire de la ligne Orléans-Châteauneuf, inscrite dans le Contrat de Plan Etat Région 2015-2020 pose à nouveau le problème du respect des engagements de l’Etat.
En effet, le projet pourrait être remis en cause en raison de la politique d’austérité que le gouvernement impose… d’abord aux Régions.
Communiqué du Groupe FN Centre-Val de Loire :
« En dépit de l’ouverture d’une enquête d’utilité publique, François Bonneau est inquiet pour la ligne SNCF Orléans-Châteauneuf : « si l’Etat ne tient pas sa parole sur les grands projets la région ne pourra pas se substituer.
Or, dans le cadre de la rigueur budgétaire imposée par l’Union européenne, les assises de la mobilité ont évoqué la remise à plat de tous les grands projets liés aux infrastructures de déplacement, et cela concernerait Orléans-Châteauneuf.
Le groupe Front National avait déjà souligné lors de la signature du contrat de plan Etat-Région sa nature asymétrique, puisque personne ne peut contraindre l’Etat à tenir ses engagements, par nature modifiables au gré des changements de gouvernements.
Par ailleurs les élus FN s’étaient interrogés sur la pertinence du choix d’une ligne TER classique – on y avait envisagé des rames Regio2N capables de rouler à 200 km/h ! – au détriment d’une solution tram/train, comme cela s’est fait au nord de Rennes sur une distance équivalente.
Peut-être désormais faudrait-il reposer la question.«
Le 28 septembre le 1er ministre LR et M. Macron prononcera le discours d’ouverture du Congrès des Régions de France.
Les élus présents auront-ils le courage de lui réserver l’accueil qu’il mérite ?
Pas sûr, puisque pour la plupart ils ont fait voter pour celui dont ils déplorent aujourd’hui les décisions… qu’il avait pourtant clairement annoncées.
Nos élus régionaux seront sur place, nous vous tiendrons informés.
Gare de Blois : le stationnement en question.
La passerelle a été évoquée lors du dernier conseil, mais l’aménagement côté ouest n’est toujours pas traité.
Nous avons, après le conseil municipal de Blois, le témoignage d’un usagers quotidien de la SNCF.
« J’ai, ce matin encore, manqué mon train habituel, bien que je sois arrivé 20 minutes avant l’heure du train… Toutes les rues proches de l’accès passerelle au nord sont saturées : rue Alfred Halou, parking Nord de la Gare, avenue Médicis, rue du Pressoir Blanc, « Rond-Point » du cimetière, rue Frédéric Chopin !
Pas ou très peu de stationnement Rue Pierre de Ronsard, idem avenue Gambetta.
Je me suis garé sur l’unique place que j’ai trouvé à savoir rue Etienne Baudet, qui est plus une place de stationnement dédiée aux riverains qu’aux usagers de la gare.
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Les demandeurs d’asile payent-ils le train ?
Si les « migrants » ne paient pas le train, devinez qui paie !
Scène vécue aujourd’hui dans un TER entre Blois et Orléans. Un passager s’est retrouvé dans une voiture du train avec deux demandeurs d’asile, deux jeunes hommes majeurs ou peut-être mineurs isolés (?). Lors du contrôle de leur titre de transport, ceux-ci ne parlaient pas français, seulement anglais, ils ont seulement présenté une photocopie de leur demande, faite en février dernier.
Ils n’avaient ni pièce d’identité ni argent pour régler leur contravention, puisque ne disposant pas de billet, voyageant en fraude au départ de Blois avec Paris pour destination. Les contrôleurs ont pris leurs noms, prénoms identifiants qui figuraient sur leur photocopie, sans certitude que celle-ci fasse référence à un document valable.
A la suite de cela, les contrôleurs leur ont indiqué le train qu’ils devaient prendre pour aller à Paris, une fois arrivé à la gare d’Orléans et leur ont imprimé un « reçu » leur permettant de poursuivre leur voyage mais en leur expliquant qu’en l’état actuel ils ne devraient pas pouvoir prendre le train, faute de pouvoir justifier leur identité.
Question : Qui paye la contravention ? L’Etat ? La SNCF ? La Région ?
Et combien sont-ils à voyager ainsi ?
Conseil régional : le TGV à Orléans et à Bourges, mais sans passer par la Sologne !
Le projet de ligne à grande vitesse Paris-Orléans-Clermont-Lyon réapparaît, avec une inscription de 100 000 euros au budget de la Région pour de nouvelles études.
On se souvient que la Région Centre, comme les villes d’Orléans et de Bourges, soutenaient le tracé Ouest.
Mais ce n’est pas celui qui a été retenu, la SNCF privilégiant une liaison plus directe et donc plus rapide entre Paris et Lyon avec tracé plus à l’Est.
Du coup, la région Centre-val de Loire avait menacé de se retirer du projet.
Mais c’était sans compter sur le lobbying des partisans du tracé ouest, qui sont parvenus à relancer l’idée de nouvelles études.
Le problème, c’est que ce projet est loin de faire l’unanimité.
En effet, si les maires LR d’Orléans et de Bourges, ainsi que les parlementaires à l’époque LR de ces deux agglomérations défendaient la LGV, le député LR de Sologne, Patrice Martin-Lalande, s’y opposait.
Ainsi que Guillaume Peltier en 2016 au conseil régional, qui avait voté contre une partie de son propre groupe.
Mais vendredi il a voté contre l’amendement déposé par les écologistes qui refusait cette nouvelle étude !
Michel Chassier, au nom du groupe Front national, s’est étonné de se revirement, et quelque peu ironisé sur cette ligne TGV qui relierait Orléans à Bourges… sans passer par la Sologne et les terrains de chasse de certains figures du CAC 40 !
Piqué au vif, Guillaume Peltier a répondu qu’on pouvait changer, et que 2016, c’était « avant ». Avant quoi ?
Réponse de Michel Chassier : « alors vous aussi vous êtes en marche ! »
Au final, le groupe FN a voté le voeu des écologistes, conformément à ses positions depuis le départ sur ce projet, dont la probabilité s’amenuise encore avec les récentes déclarations de M. Macron au sujet des finances publiques.
Trains intercités : quelle facture pour la Région ?
Intercités : quelle sera la charge pour la Région ? Le Président n’a pas daigné en informer les élus.
La SNCF veut se débarrasser de la plupart des liaisons « Intercités », les fameux « trains d’équilibre du territoire (TET), qui lui coûtent trop cher : 400 millions de déficit d’exploitation annuel, que l’Etat refuse de compenser.
De même que les routes nationales ont pour la plupart été départementalisées, les lignes TET vont donc progressivement être transférées aux Régions.
La question avait évoquée lors de la session de décembre du Conseil régional, en marge du débat sur le transfert des transports routiers de voyageurs, et Michel Chassier avait alors posé des questions, la plupart demeurées sans réponse.
Mais aucun rapport n’était soumis au vote, et les négociations en cours avec la SNCF n’ont pas davantage fait l’objet de débat dans la commission ad hoc.
L’affaire est pourtant d’importance dès lors que les trois lignes reprises par la Région Centre-Val de Loire représentent un déficit d’exploitation annuel de 49 millions d’euros !
Il sera pris en charge au départ par la SNCF, mais de manière dégressive, alors que le déficit risuqe au contraire d’augmenter.
Le Président Bonneau a donc signé dès le 19 décembre avec la SNCF, sans en informer les élus, ce qui est un comble pour ardent défenseur de la démocratie participative. A moins que cet ersatz de démocratie, que nous sommes les seuls à dénoncer dans l’assemblée régionale, consiste à remplacer les élus qui posent trop de questions par des citoyens plus ou moins tirés au sort et beaucoup plus dociles car ils n’ont pas la possibilité d’accéder aux dossiers !
Et demain le Premier ministre Bernard Cazeneuve vient signer le protocole d’accord à Orléans, alors que la commission permanente se réunit le lendemain, sans toutefois être saisie du dossier !
C’est la troisième fois depuis le début du mandat que François Bonneau se comporte de cette manière : c’était déjà le cas pour la Contrat de Plan Etat-Région, signé avec Maneul Valls avant d’être voté, comme pour le plan des « 500 000 formations », signé avec Myriam El Khomri dans les mêmes conditions, avant que le volet régional ne soit adopté par l’assemblée régionale.
Curieuse méthode de gouvernance pour un président qui se veut consensuel.
Le groupe Front National a publié un communiqué pour dénoncer cette méthode, et alerter nos concitoyens sur les risques à venir : Communiqué FNCVDL 2017.01.16 – Convention RCVL-SNCF TET
(voir la Nouvelle République du 18/01/2017).
Conseil municipal de Blois : suite de nos interventions.
L’aménagement du quartier gare : un dossier qui a pris trop de retard.
A l’ordre du jour du conseil de lundi soir, un sujet déjà abordé en juillet au Conseil d’Agglopolys : les transferts de compétences liés à la loi NOTRe.
Michel Chassier a rappelé la position invariable du Front National sur ce point : privilégier la démocratie de proximité en défendant l’échelon communal. L’intercommunalité ne se justifie que comme une communauté de projet, afin de mener au niveau de l’Agglomération des opérations d’aménagement d’intérêt communautaire ou de gérer les services publics débordant le cadre communal.
Ni le Maire, ni le Président de l’Agglo, ni le député présent n’ont souhaité s’engager dans ce débat alors que, d’ores et déjà, tout le monde à compris que la loi NOTRe n’avait rien réglé.
Voir l’intervention complète de Michel Chassier : CM 2016-09-19 – Modification statuts Agglopolys.
A l’occasion du rapport annuel sur l’eau, l’élu FN a réitéré ses remarques sur l’entretien du réseau, soulignant un taux de renouvellement nettement insuffisant. Avec le risque pour les usagers de voir leur facture augmenter si dans un avenir proche la ville est obligée de lancer de nouveaux travaux de rénovation du réseau.
Autre sujet important, la ZAC Saint Vincent-Gare-Médicis, dont le rapport annuel d’activité laisse quelque peu dubitatif.
Michel Chassier a fait un rappel historique pour déplorer que les ambitions aient été revues à la baisse et pour s’étonner que, selon le rapport « la définition d’un projet d’envergure sur le quartier gare est aujourd’hui en cours », alors que la décision de créer cette zone d’aménagement date de… 1992 !
Entre temps beaucoup de retard a été pris, et aujourd’hui de nouvelles inquiétudes apparaissent avec la volonté affichée par la SNCF de transférer les Intercités Paris-Orléans-Tours à la Région, qui n’aura pas les moyens de les financer.
Là encore peu de réponses, aucune sur le volet SNCF.
Voir l’intervention complète de Michel Chassier : CM 2016-09-19 – ZAC Saint Vincent Gare Médicis.
Une fois encore, les Blésois venus assister à cette séance du conseil municipal, et que nous ne pouvons que féliciter pour leur assiduité, ont pu constater que la plupart des questions des propositions émanaient du groupe Front National.
Quelques-uns sont venus nous en féliciter après le conseil.
Paris-Blois : le trafic ferroviaire encore perturbé.
C’est un passager qui nous prévient par SMS à 17 h 40 : « Cela fait plus d’une heure au moins qu’il n’y a plus de circulation entre Blois et Orléans. Problèmes de signalisation sûrement dus aux travaux. On n’a pas d’informations de la part de la SNCF. On ne sait pas comment on va rejoindre Blois. »
Pendant ce temps sur Infoligne la SNCF annonce des retards de 5 à 20 minutes !
La situation sur la ligne Blois-Paris ne s’arrange pas, et les projets de la SNCF ne sont pas rassurants, il faut craindre une diminution de l’offre Intercités, ce qui obligerait la Région à financer davantage de liaisons TER.
Les élus FN ont régulièrement demandé à la Région Centre-Val de Loire de défendre davantage les usagers. Le 18 mars lors de la commission permanente, nous avons été les seuls à ne pas approuver le dernier avenant à la convention TER pour toutes ces raisons.
Agression à la SNCF. Les voyageurs trinquent !
Samedi dernier, une contrôleuse a été frappée par un passager dans le TER reliant Le Croisic à Orléans. Cette agression a provoqué différentes réactions parmi les employés de la SNCF dont certains ont exercé leur droit de retrait aujourd’hui lundi. Au détriment des voyageurs, une fois de plus !
Cette agression a eu lieu lorsque cette contrôleuse a voulu vérifier le billet d’un homme d’une vingtaine d’années alors qu’il occupait de façon prolongée les toilettes. Après avoir été insultée la contrôleuse a été frappée au visage par l’individu qui s’est enfui lorsque le train est arrivé en gare de Blois (la Nouvelle République du 12/11/2015)
Une quinzaine de perturbations du trafic ont été observées sur les TER Centre aujourd’hui lundi. Ce qui n’était pas pour arranger les voyageurs déjà mal à l’aise avec le service très approximatif de la SNCF.
On se demande comment une femme peut se trouver seule pour un contrôle de billet face à des situations tendues de plus en plus fréquentes comme chacun peut le vérifier quand il voyage entre Blois et Paris.
Il est temps que la SNCF prenne les moyens d’assurer la ponctualité et la sécurité des voyageurs et des employés de la SNCF.
Liaisons SNCF Blois-Paris : les élus FN de Loir et Cher réagissent.
Remplacer les Intercités par des TER aux frais de la Région : une stratégie de la SNCF ?
Tout au long de la précédente mandature, les élus du Front National ont demandé à la Région et à la SNCF d’améliorer le service, en particulier sur la ligne Tours-Blois-Les Aubrais Orléans-Paris. Les voyageurs ont pu constater en effet la diminution des trains directs Blois-Paris, les suppressions de trains entre Blois et Tours (est-ce lié seulement à la période de travaux ?) des suppressions d’arrêts sans parler des retards fréquents.
Nous y avons consacré de nombreux articles sur notre blog.
Nous espérons que le nouveau vice-président chargé des transports saura être plus exigent avec la SNCF et RFF.
En lire plus …
La SNCF sur la mauvaise voie. Erreur d’aiguillage ?
Alors que les retards sur les horaires des trains se multiplient. Alors que les pannes deviennent monnaie courante, la Fondation SNCF se lance dans des opérations qui ne sont pas de son ressort et qui exigent des dépenses non prioritaires.
Elle se propose de lutter contre l’illetrisme en ouvrant un appel à projets sur le numérique.(la Nouvelle République 15/10/2015).
Outre que le mot « illetrisme » mériterait d’être défini avec exactitude, combien de fois faudra-t-il rappeler que s’il y a « illetrisme » c’est parce que l’Education nationale ne fait pas son travail en enseignant à lire et à écrire avec une méthode globale catastrophique et que 20% des enfants arrivent en 6ème sans savoir lire correctement ?
Faut-il rappeler que cet illetrisme est dû en grande partie à une immigration massive de populations qui, arrivant sur notre sol sans maîtriser notre langue, développe un communautarisme qui donne la priorité à sa langue d’origine, enseignée parfois dans nos écoles ?
Faut-il aussi rappeler aux fanatiques du numérique qu’avant de se lancer dans cette spécialité il convient d’abord de maîtriser la langue française ?
Nous attendons de la SNCF que les trains partent et arrivent à l’heure. Que les billets gratuits soient, éventuellement, attribués aux Français défavorisés plutôt qu’aux clandestins, comme nous venons de l’apprendre. La lutte contre l’illetrisme, ce n’est pas sa mission !
SNCF : retards, grèves, pannes.
Emmanuel Macron ne l’avait même pas imaginé. Les voyageurs qui se trouvaient dans le train Tours-Vierzon mardi soir ont fini leur trajet en taxi. Leur TER est en effet tombé en panne en gare de Villefranche sur Cher, peu avant minuit selon la Nouvelle République. A vérifier, car le dernier TER passe à Villefranche à 22 h 03. Les passagers étaient donc dans le train depuis 20 h 45 !
Autre conséquence, les barrières du passage à niveau sur la D922 sont restées abaissées, bloquant la circulation, plus forte que d’habitude car un tronçon de l’A85 était fermé pour la nuit en raison de travaux.
Le lendemain, mercredi 7 octobre, les passagers partis de Blois pour Paris à 12h13 sont arrivés avec 30 minutes de retard. Le soir, ceux qui voulaient partir de Paris vers Blois à 17h38 sont eux aussi arrivés avec 30 minutes de retard.
Certes, il y a des travaux sur la voie entre Blois et Orléans, mais n’est-il pas possible dans ce cas d’informer les voyageurs, et d’afficher des horaires fiables ?
Jeudi 8 octobre, la grève limite à trois le nombre de trains allant de Blois à Paris pour la journée. Combien auront-ils de retard ?
Ces retards et incidents à répétition n’incitent guère les voyageurs à prendre le train, ce qui expliuqe le développement de blablacar et autres alternatives.
Quant de surcroît la SNCF va lancer en janvier prochain son offre de car low-cost en particulier sur Orléans-Tours, on peut craindre de nouvelles réductions d’horaires… à moins que le contribuable ne soit à nouveau sollicité via la Région.
La campagne électorale des régionales permettra de mettre ce sujet sur la table.
Mises en avant
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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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