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FNJ : Une journée de cohésion régionale instructive et fédératrice.

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Ce samedi 12 Mars s’est tenue la journée de cohésion régionale du FNJ Centre-Val de Loire. Quelques jeunes du FNJ Loir-et-Cher ont fait le déplacement à Bourges, un an après le précédent événement. Gaëtan DUSSAUSAYE, le directeur National du FNJ était également présent. 

Le matin, la journée ensoleillée a commencé par une action militante sur le marché de la Halle au Blé, contre le TAFTA (Traité Transatlantique de Libre-Echange entre l’Amérique du Nord et l’Union Européenne) en compagnie de Philippe LOISEAU, Député Français FN au Parlement européen en charge des questions agricoles pour le groupe parlementaire Europe des Nations et des Libertés et Conseiller régional CVL.

1511391_1673179629613913_1641987520514032471_nAprès un repas commun, la trentaine de jeunes s’est réunie pour une table-ronde, à la permanence du FN à Bourges. Outre nos deux invités, les débats étaient animés par Jean-René COUEILLE (Conseiller régional CVL) et Julie APRICENA (Coordinatrice FNJ Centre). 

12804837_1673180056280537_6513986083613394612_nLa lutte contre le chômage des jeunes, la question migratoire et des « frontières » étaient aussi à l’ordre du jour – deux thèmes qui seront également sur la table lors de la rencontre des jeunes européens à Strasbourg les 20 et 21 Mai prochain auquel une dizaine de jeunes du FNJ Centre participera dont deux du Loir-et-Cher.

La journée s’est terminée par un programme de loisirs. Le prochain week-end de cohésion régionale aura lieu à la fin du printemps en Loir-et-Cher et aura pour thème la découverte du patrimoine touristique du Val de Loire.

UDTFN 2015 : Lutter contre la mondialisation sauvage et le « tout Europe »

Le FN seul dans la lutte contre la mondialisation sauvage !

Gilles Lebreton (député Français au Parlement Européen, en photo à gauche) a présenté ses arguments pour lutter contre le fléau de la mondialisation, à savoir le rétablissement du protectionnisme à nos frontières (droits de douanes pour les produits importés en France) pour lutter contre le dumping social et une suppression de la directive détachement des travailleurs, dont avait outrageusement usé le Parti Socialiste pour l’organisation de son Université d’été à la Rochelle. Aussi, Edouard Ferrand, est intervenu sur le travail des élus FN au parlement européen au sein du nouveau groupe politique baptisé « Europe des Nations et des Libertés » dont il est en le Président : il a pour rôle d’infléchir les positions ultra-libéralistes de l’Union Européenne et favoriser les projets collaboratifs entre nations libres et souveraines. 

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L’agriculture sacrifiée sur l’autel du traité transatlantique et du « tout Europe »

L’Union Européenne s’apprête, elle, à franchir un nouveau pas dans les négociations qu’elle impose aux Etats-Unis pour accoucher du traité transatlantique (TAFTA) qui sacrifiera à jamais nos atouts nationaux : en première ligne notre agriculture Française, un thème présenté par Philippe Loiseau (en photo à droite), céréalier en Eure-et-Loir, tête de liste régionale pour le Centre-Val de Loire. Un atout remis en cause par Bruxelles qui interdit la préférence nationale et met en situation de concurrence déloyale les producteurs de porc breton vis à vis de leurs homologues européens, ou plus localement chez nous, les oignons d’Eure-et-Loir face à ceux exportés par le Maroc en France avec le concours des aides subventionnelles du conseil régional du Centre… et le silence de mort de la fausse droite locale. 

L’euro, tombeau Grec et fléau national français. 

Bernard Monot, député français au Parlement Européen de la circonscription Centre-Massif Central et stratégiste économique s’est exprimé sur la situation préoccupante de la Grèce, dont 50% Français s’étaient déclarés en faveur d’une sortie de l’euro il y a deux mois – 10 ans après son refus de se voir imposer des traités européens, véritables boucliers anti-nations. La Grèce connaît ainsi une instabilité économique et politique menée par son premier ministre qui n’a jamais tenu ses promesses à savoir quitter l’institution européenne mais dont il a préféré subir les exigences – à savoir une tutelle permanente sur le dos des contribuables européens, français en tête alors que les grecs avaient strictement exprimé leur désaccord dans les urnes. 

Crise agricole : Quel avenir pour les jeunes agriculteurs ?

1343608_3_31cd_manifestation-d-agriculteurs-qui-veulentTribune libre du FNJ Loir-et-Cher.

Les agriculteurs connaissent des heures sombres. Contraints et forcés de manifester pour se faire entendre par un gouvernement qui fait mime de les comprendre, tous s’interrogent sur l’avenir de leur exploitation, dévolue à leurs enfants. Asphyxiés par des normes techniques et administratives qui leur coûte du temps, de l’énergie et de l’argent – sans oublier dernièrement que les portiques « ecotaxe » et le « TAFTA » se sont ajoutés au cauchemar qu’ils subissent. Les agriculteurs réclamaient un juste retour de leur labeur : une renégociation des prix avec les transformateurs et les distributeurs dont les marges sont de plus en plus conséquentes.

Ce n’est pas les 600 millions d’euros promis par François Hollande qui permettront de sauver l’agriculture française ni une simple hausse des prix à la consommation, dont le consommateur saura se détourner tant que la grande distribution proposera en masse des produits issus du reste de l’UE (des Etats-Unis ou même d’ailleurs, comme la Turquie) dont le dumping social permet de pratiquer des prix qui défient toute concurrence avec une qualité qui reste à désirer. Les administrations publiques à travers leur service de restauration (hôpitaux, maisons de retraite, écoles, collèges, lycées…) doivent aussi avoir pour obligation de recourir à notre agriculture nationale en dépit des directives européennes qui nous imposent le contraire. Il sera aussi nécessaire de garantir la traçabilité et l’origine des produits que les Français consomment. Ce mécontentement global qui s’est manifesté à travers toute la France et notamment aux abords du domaine national de Chambord (41) doit inciter les pouvoirs publics à réorienter rapidement la politique agricole.

Le FNJ Loir-et-Cher est le seul mouvement jeune qui s’associe à la détresse des jeunes agriculteurs 41 qui se battent pour la sauvegarde de ses emplois.

Pendant ce temps, les jeunes communistes préfèrent attiser les haines religieuses entre la Palestine et Israël épinglant médiatiquement dans les supermarchés du Blésois les produits venant de cette région plutôt que de défendre les produits issus de l’agriculture locale.  

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