Crédit Agricole Bégon : l’omerta continue.
La Nouvelle République revient aujourd’hui sur la fermeture de l’agence du Crédit Agricole de Blois-Bégon.
Nous en avions parlé sur notre blog le 13 décembre, en expliquant les véritables raisons de cette fermeture inattendue.
Les éléments de langage du directeur général restent très prudents : « l’intérêt de nos clients et de nos salariés a guidé nos actions tant dans le choix de fermer cette agence que dans la gestion de celle-ci. » C’est en gros ce qui disait le courrier adressé aux clients : « attachés à vous offrir un service de qualité, nous sommes contraints de procéder à la fermeture de l’agence« . Il évoque également les « comportements inacceptables de certains clients », sans plus de précisions.
Quant au maire de Blois, Marc Gricourt, il parle simplement de « problèmes que je nie pas« , sans en dire davantage.
Bref, c’est l’omerta, silence radio, la chape de plomb habituelle destinée à masquer la réalité.
Car la nature de ces « comportements inacceptables » est parfaitement établie, comme nous l’indiquions dès le 13 décembre. Il s’agissait de menaces proférées par des islamistes « agressifs avec une touche de violence » ne voulant pas être servis par des femmes.
Nous avions alors publié le témoignage d’une cliente, et une enquête rapide aurait permis au journaliste de confirmer ce témoignage.
Mais tout le monde a intérêt à cacher la vérité. On connaît le principe : pas d’amalgame !
Et le maire comme les autorités de l’Etat ne souhaitent pas que l’échec de la « politique de la Ville » et du Plan de Rénovation Urbaine soit révélé au grand jour.
Au passage Marc Gricourt précise qu’il aurait pu donner « quelques conseils sur le profil des agents de sécurité« . On aimerait en savoir plus. Mais cela rappelle l’époque de Jack Lang, quand la Ville faisait appel une certaine association pour assurer la sécurité des lieux publics comme la salle Paul-Emile Victor, ce qui ne l’a pas empêchée d’être incendiée plus tard…
L’exemple du Crédit Agricole, dont l’agence Blois-Bégon venait d’être rénovée à grand frais il y a un an est une démonstration supplémentaire.
Le problème n°1, c’est le refus grandissant d’une frange islamiste radicale de se conformer aux lois de la République et à notre façon de vivre. Il faut bien comprendre que ce n’est là que le début d’un phénomène appelé à prendre de l’ampleur tant que les flux migratoires se poursuivront.
Avez-vous remarqué dans cette affaire le silence assourdissant des représentants locaux de la droite et du centre ?
Dont le candidat s’apprête une fois de plus à trahir les Français.
Pour mettre un terme à cette dérive inacceptable, une seule solution : Marine 2017 !
C ‘est quand même pas croyable que le mobilier urbain ( barrière de protection piétons en hauteur ) au niveau du Crédit Agricole non concerné forcément …. serve de porte manteaux et d’ étalage vestimentaire de la part des commerçants concernés. Est-ce normal de voir un tel laxisme des autorités municipales, face à cette occupation inesthétique et imposée à nos yeux lorsque nous empruntons quotidiennement cette rue Michel Bégon ? Pourquoi autant de droit et aucun règlement occupation publique appliqué à l’ encontre de ce secteur ?
Il n’ y a pas de fumée sans feu. Cette fermeture est probablement prise après un climat de pressions et de comportements anti-français et de la façon dont nous vivons ; cela ne plaît donc pas aux islamistes. Pourquoi cacher cette vérité ? Dans tous les cas, c’ est très moche ce qui se passe dans ce secteur de Blois et restons vigilants …….