Les réunions du « Grand débat » se suivent et se ressemblent.
Les participants peuvent donner leur avis sur les questions qui leur sont présentées, mais certains sujets sont interdits.
Malgré tout à Vendôme il a été question du problème des gens du voyage, de l’immigration ou en encore des travailleurs détachés.
Ce que déplore la Nouvelle République dont on peut se demander à quel titre elle se permet de juger la pertinence des questions posées.
Cela conforme qu’il ne faut pas entendre grand chose de ces réunions dont le but est aussi de masquer la campagne des européennes.
Quelques exceptions toutefois comme à Beaucaire où le maire RN, Julien Sanchez invite les Beaucairois à venir débattre en toute liberté ce lundi 18 février.
Le député « En Marche » de la circonscription a décliné l’invitation.
Pas très courageux…
Grand débat : questions interdites
Arjowiggins : le président Bonneau soutient les salariés… mais achète du papier au Portugal !
Située dans la Sarthe mais à la limite du Loir et Cher, cette entreprise emploie de nombreux salariés venus du Vendômois et du Perche, notamment dans les anciens cantons de Savigny et de Montoire.
La fermeture annoncée du site de Bessé-sur-Braye illustre une fois plus la prise de contrôle de la finance sur l’économie réelle et l’absence d’une stratégie industrielle au service de l’intérêt national, contrairement à ce que font nos principaux concurrents.
Outre 560 salariés, de nombreux sous-traitants locaux vont être touchés en cas de fermeture définitive.
Le président de Région, François Bonneau, a fait part de son soutien aux salariés et il espère un projet de reprise.
Mais on peut regretter dans ce contexte que la Région commande du papier hier en Allemagne, aujourd’hui au Portugal pour ses propres besoins. Ce que nous imposent malheureusement le code des marchés publics et la réglementation européenne au nom de la libre concurrence, qui s’avère souvent déloyale.
Lire le communiqué du groupe Rassemblement National Centre-Val de Loire
Un clandestin multirécidiviste à nouveau condamné à Blois. Mais que faut-il encore en France ?
Un ancien combattant rappelle à Macron sa promesse non tenue.
Une fois encore la chronique judiciaire nous apprend qu’un homme de 40 ans, « originaire de la Côte d’Ivoire et en situation irrégulière » était jugé en appel à Orléans (la Nouvelle République du 24/11/2018).
L’individu, une certain Lenace, avait été condamné pour outrages et menaces à l’encontre d’un surveillant de prison à Blois, pour des insultes au personnel des urgences de l’hôpital de Vendôme, ainsi que pour une tentative de fuite lors d’un contrôle alors qu’il conduisait sans permis.
On apprend au passage que le sieur Lenace collectionne déjà 23 mentions à son casier judiciaire !
Cela pose bien sûr plusieurs questions.
D’abord comment se fait-il qu’un étranger en situation irrégulière soit toujours en France après une telle série de condamnations ?
Depuis combien de temps est-il sur notre sol en situation irrégulière ? De quoi vit-il ? Qui a payé les frais d’un appel, alors que de nombreux justiciables français renoncent parfois à se défendre car ils n’en ont pas les moyens ?
Qui va payer les frais de procédure s’il n’est pas solvable ?
Enfin, suite à cette enième condamnation, va-t-il enfin faire l’objet d’une expulsion du territoire français ?
Macron avait promis il y a un an que tous les « étrangers en situation irrégulière » qui commettent un délit « quel qu’il soit seront expulsés » de France, promettant d’être « intraitable sur ce sujet« .
Encore une promesse non tenue…
Tribunal de police de Blois : les propos étonnants du procureur.
Chemnitz : des manifestants brandissent les portraits des victimes. Intolérable pour le procureur Frédéric Chevallier.
Le tribunal de police de Blois jugeait hier une querelle voisinage dans le Vendômois, les faits remontent au 2/11/2017 (la Nouvelle République du 8/09/2018).
Comme souvent dans ce type de situation, la situation dégénère, les esprits s’échauffent, on en arrive aux insultes, parfois aux coups.
Dans le cas présent ce sont des insultes qui ont été échangées, mais comme l’un des protagonistes est d’origine malgache, il a porté plainte pour « injures à caractère raciste« . Un véritable sésame.
L’accusée nie les propos qu’on lui prête, indiquant au passage que son accusateur lui aurait dit que sa place était au cimetière ! Mais un voisin confirme, sans qu’on connaisse bien ses rapports avec l’accusée.
Dans une telle situation, il nous semble qu’un simple rappel à la loi aurait permis de calmer le jeu.
Mais l’accusation de racisme fait perdre aux magistrats et aux commentateurs la prudence qui devrait s’imposer.
Nous ne connaissons pas suffisamment le dossier pour émettre un avis, mais les propos du procureur sont pour le moins surprenants.
« L’actualité est déjà suffisamment inquiétante avec les faits qui viennent de se produire à Chemnitz en Allemagne. » Ces considérations politiques n’ont pas leur place dans une audience. Ils contreviennent gravement au devoir de discrétion et de réserve de l’institution judiciaire. Leur auteur mériteraient pour le moins un rappel à l’ordre par sa hiérarchie.
Rappelons que les manifestations de Chemnitz sont partie de l’assassinat au couteau d’un citoyen allemand par deux « migrants ».
Le procureur Frédéric Chevallier manifeste ainsi sa méconnaissance du dossier, prouvant qu’il est influencé par les médias sans faire preuve de discernement.
Espérons pour le bien de la justice qu’il se ressaisisse car en l’état il est permis de douter de son impartialité.
Salbris et Vendôme acceptent leur mise sous tutelle par l’Etat.
A Blois comme à la Région, les élus RN ont voté contre la mise sous tutelle.
Après Nicolas Perruchot qui s’était précipité pour signer avec l’Etat au nom du département, ce sont les villes de Salbris et de Vendôme, ainsi que l’agglomération des territoires vendômois, qui ont accepté la mise sous tutelle de leur budget, au mépris du principe constitutionnel de libre administration des collectivités.
Nous avions déjà parlé du débat à Blois, où le conseil municipal a refusé de se soumettre et à la région Centre-Val de Loire, où le président Bonneau a fini par signer, contraint et forcé.
Prochaine étape en 2020 : faudra-t-il soumettre au Préfet les programmes des candidats à l’élection municipale pour vérifier s’ils permettront de respecter cet engagement, et le cas échéant invalider les candidatures qui refusent de s’y plier ?
Le « nouveau monde » de M. Macron ressemble fort au second empire, où ce sont les Préfets qui désignaient les maires ! Et où les banquiers ont véritablement pris le pouvoir…
Pompiers agressés à Vendôme.
Nous ne sommes pas dans le « 9-3″ ou même à la ZUP de Blois où les pompiers ont été agressés à plusieurs reprises, mais à Vendôme, ville réputée paisible de 17 000 habitants.
Pourtant ce dimanche en pleine journée, alors qu’ils intervenaient dans un appartement de l’allée Louis Jouvet, tout près de leur caserne, 3 sapeurs-pompiers ont été agressés par individu dont on ignore l’identité comme les motivations (la Nouvelle République du 19/06/2018).
Agression délibérée, piège tendu aux pompiers ou réaction d’un individu déséquilibré ?
Quoi qu’il en soit l’un des soldats du feu est en arrêt de travail pour huit jours.
Les élus locaux et les cadres du Rassemblement national ne peuvent que condamner cette nouvelle agression et exprimer leur solidarité à ceux qui parfois risquent leur propre vie pour en sauver d’autres.
Toujours plus de migrants en Loir et Cher : Macron a encore menti aux Français.
30 logements réquisitionnés par le Préfet à Blois en octobre 2016, 125 de plus sont prévus. Combien au total ? (image d’archives FN41)
La loi « asile et immigration » avait provoqué des cris d’orfraie du côté de la gauche et de l’extrême-gauche, allant jusqu’à provoquer des vapeurs chez certains députés « en Marche », où en plus des « godillots » il y a aussi quelques « babouches ».
Cette indignation, réelle ou feinte ne pouvait que servir le tandem Collomb-Macron, dont les Français ont pu croire qu’ils allaient durcir la politique d’asile et d’immigration.
Bien sûr, c’est exactement le contraire.
Cette loi était destinée à faire croire aux Français qu’il y aurait désormais un contrôle plus strict, pour mieux leur faire accepter les quotas de réfugiés qui nous sont imposés par Bruxelles, en plus de ceux qui de toutes façons entrent clandestinement.
Ainsi pour le seul département de Loir et Cher, le Préfet annonce la mise à disposition de 125 logements supplémentaires pour accueillir les familles en sortie de CADA (centres d’accueil de demandeurs d’asile) et ceux qui arrive « via la plateforme nationale », autrement dit des migrants en situation irrégulière que l’on réparti sur le territoire pour désengorger Calais ou Paris.
Et comme il est précisé dans l’article (la Nouvelle République du 26/05/2018) les places ainsi libérées en CADA seront aussitôt occupées par de nouveaux arrivants.
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La (Nouvelle) République en marche !
Le parti macroniste, La République en marche (LREM) n’en fini pas de remplir les pages la la Nouvelle République, au point qu’on pourrait se demander si ce journal n’est pas tout simplement devenu « La Nouvelle République en marche » !
Dans la page « politique » qui paraît tous les mardi, nous avions eu droit le 15 mai à un article pour le moins bienveillant au sujet d’une marche pour l’Europe qui avait rassemblé… 11 « marcheurs » !
Alors que la veille, rendant compte de notre hommage à Jeanne d’Arc, les 40 personnes présentes dans les jardins de l’Evêché n’était selon le même journal « qu’une poignée ».
Le mardi suivant, le 22 mai, c’est un festival : LREM a droit à 100% de l’espace, une page entière, sur un ton toujours aussi favorable, pour présenter la nouvelle réfèrente départementale désignée d’office par la direction du parti, alors qu’elle n’a pratiquement rien à dire !
Qu’on en juge : interrogée sur les municipales dans les trois principales villes du département, elle ne peut donner aucune réponse.
A Blois, « la situation va se décanter dans les mois à venir« . Comme il faut toujours traduire la langue de bois, cela veut dire en clair qu’il n’y a personne de crédible pour mener une liste.
A Romorantin, « l’équation n’est pas évidente« . Et pour cause : le maire sortant Jeanny Lorgeoux est candidat à l’investiture LREM, tout comme son opposant MoDem Louis de Redon ! On comprend son embarras.
Même constat enfin à Vendôme où la réfèrente départementale constate que Pascal Brindeau travaille déjà avec des élus de tous horizons. Mais après tout Laurent Wauquiez n’exclu pas la présence de candidats macronistes sur les listes municipales LR.
Bref toutes les recettes de la cuisine politique de cet « ancien monde » en train de sombrer, et dont Macron est en France l’ultime recours et le premier représentant.
Pour revenir à Blois, le festival continue. Après le conseil municipal du 23 mai, cela fait trois jours de suite que la NR revient sur l’éviction de Louis Buteau, avec encore plus d’une demi-page aujourd’hui. Et bien sûr les propos de l’intéressé sont pieusement recueillis, sans la moindre critique.
Nous y reviendrons également, au sujet du Centre-ville, car il est pour le moins surprenant qu’un adjoint au commerce critique un projet qu’il a soutenu depuis le début du mandat, et les solutions qu’il propose constitue en véritable retour en arrière, ce sont de Lang-Perruchot !
Pendant ce temps ni notre réponse au sujet des menus sans porc dans les cantines de Blois, ni notre communiqué sur la grenouille-taureau et les fonds européens n’ont reçu le moindre écho…
Vendôme : le mythe des quartiers défavorisés.
Photo d’illustration : piscine des Maillettes.
Les faits sont têtus. Et les faits divers que nous relatons parfois le sont tout autant.
A Vendôme la piscine des Maillettes, située dans le quartier des Rottes, vient à nouveau d’être vandalisée (la Nouvelle République du 23/05/2018).
Elle avait été rouverte le 18 mai, après une première fermeture en raison de dégradations commises le 8 mai.
Quatre jours plus tard elle est de nouveau fermée suite aux dégradations commises dans la nuit de dimanche à lundi.
Qui sont les auteurs de ces actes et quelles sont leurs motivations ? Il faut espérer que l’enquête aboutisse pour la savoir.
Nous avons certes une petite idée, mais patience…
Toujours est-il que ces dégradations répétées d’un équipement public utilisé par les habitants du quartier et au-delà en raison des travaux sur la piscine des Grands Prés sont une nouvelle illustration du mythe des quartiers « défavorisés ».
La plupart de ces quartiers, désignés aujourd’hui comme quartiers prioritaires de la politique de la Ville, sont généralement les mieux pourvus en équipements publics, à l’instar de la ZUP de Blois dont nous avons souvent parlé.
Mais le problème c’est que les équipements publics sont régulièrement la cible de dégradations, et que les services publics ont souvent quitté ces quartiers car leurs agents étaient victimes de menaces et d’agression.
Ainsi la piscine Tournesol à Blois qui a été incendiée, la salle Paul-Emile Victor plusieurs fois saccagé avant d’être incendiée et aujourd’hui rasée dans le cadre du PRU. Et ce ne sont que quelques exemples, nous pourrions les multiplier.
C’est pourquoi nous ne pouvons que nous réjouir de l’abandon du plan Borloo, même si nous redoutons que M. Macron aggrave encore la politique de « discrimination positive », ce qui ressort malheureusement de son discours dans lequel il reproche seulement au plan Borloo d’avoir été inspiré par « deux mâles blancs » !
Il reprend en cela l’expression d’une certaine Anne Lauvergeon, qui avait déclaré qu’à compétences égales, elle préférait recruter « tout sauf le mâle blanc« . Propos racistes et imbéciles dans les deux cas, et l’on sait comment Anne Lauvergeon a conduit AREVA à la catastrophe.
Pour notre part nous pensons que le plan Borloo était surtout inspiré par la professeur Shadoko
Respecter les policiers… et faire aimer la France.
Collège Bégon : visite de la police mais c’est un « gilet rouge » qui surveille la classe.
On ne peut qu’approuver l’initiative du Directeur départemental de la sécurité publique de Loir et Cher, à l’occasion de la journée de rapprochement police-population, d’une journée de rencontre et d’échanges avec des collégiens de Bégon (la Nouvelle République du 11/04/2018).
D’autant plus que cette présentation des missions de la police était accompagnée d’une visite des tranchées d’entraînement datant de la première guerre mondiale en Forêt de Blois, d’une visite au musée de la Résistance avant d’aller observer une minute de silence devant le monument aix morts place de la République.
Il faudrait cependant que l’esprit de cette rencontre se prolonge au-delà d’une journée.
Or nous devons bien constater que l’enseignement de l’histoire de France a été bien abîmé dans les programmes, des pans entiers supprimés, tandis qu’au contraire les manuels scolaires traînent notre pays dans la boue en l’accusant de tous les maux et en cultivant une éternelle repentance.
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Vendôme : le « jeune » Malik menace un policier d’égorgement.
La Nouvelle République parle d’interpellation « houleuse ».
Le jeune Malik, présenté comme un « grand frère » dans le quartier des Rottes, ce qui en dit long, aurait « pété les plombs » en voyant son cousin interpellé par la Police, pour une affaire de stupéfiants.
Devenu très agressif, il s’en est pris aux forces de l’ordre, tandis que se formait un attroupement d’une dizaine de « personnes hostiles ». Sans d’autres « frères » et des « cousins » ?
Malik en est même venu aux mains, saisissant l’un des agents par le col tout en le menaçant de mort en mimant un geste d’égorgement.
Il a fallu des renforts (au total 14 policiers) pour le maîtriser et le conduite à la Maison d’arrêt où il a passé le week-end en attendant sa comparution immédiate ce lundi.
On peut se féliciter que la Justice ait pu se saisir de l’affaire aussi rapidement, mais le jugement laisse quelque peu dubitatif.
Le Vice-procureur a pourtant insisté sur l’extrême violence de cet individu et réclamé 6 mois fermes, mais le tribunal a semble-t-il entendu les arguments de la défense, plaidant que le prévenu s’est « laissé dépasser par les évènements [...] et il regrette amèrement« .
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Mosquée de Vendôme : les autorités se soumettent.
La sourate at-tawba contient le « verset de l’épée » et appelle à combattre « ceux qui ne croient pas ».
Etrange rencontre à la mosquée de Vendôme, qui aurait pu être annulée au lendemain de la mort du Colonel Beltrame, égorgé par un musulman fanatique.
De surcroît cette invitation avait lieu le dimanche des Rameaux qui marque l’entrée dans la semaine sainte.
L’association qui gère cette mosquée a pourtant maintenu ce repas entre voisins qui se tient pour la quatrième année consécutive.
Rencontre qui n’a d’ailleurs pas attiré les foules en dehors des officiels : conseiller municipal, représentants de la gendarmerie et du commissariat.
On peut remarquer, dans l’article, forcément bienveillant, publié par la Nouvelle République du 27/03, que les femmes étaient réunies entre elles dans une autre salle. Sans que cela scandalise les féministes ni Marlène Schiappa.
Sur la tuerie l’Aude les responsables de la mosquée ne souhaitent pas s’exprimer : « pourquoi nous demander à nous d’expliquer ces actes qui n’ont rien à voir avec notre foi... »
Seraient-ils donc d’aussi piètres lecteurs du Coran ?
Car le nom même de leur mosquée, At Tawba, fait référence à une sourate considérée comme l’une des plus dure du Coran.
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Montoire : Jean-Yves Narquin aux côtés des élus pour défendre la Poste.
Jean-Yves Narquin, maire de Villedieu le Château était présent à Montoire aux côtés des maires du canton de Montoire pour remettre une pétition du collectif des postiers signée par plus de 2000 habitants.
Maurice Leroy était présent sur place, à la manière des pompiers-pyromanes, en rappelant la mission de service public de la Poste, alors même qu’il soutient depuis toujours les politiques qui ont livré la Poste à la concurrence déloyale d’opérateurs qui n’ont pas les mêmes contraintes.
Au contraire Jean-Yves Narquin était parfaitement dans son rôle en rappelant qu’il faut « rester en cohérence avec ses opinions, pour la défense des ruralités et éviter le désert public postal » (la Nouvelle République du 18/12/2017).
Rappelons que la Poste était encore il y a trente ans un service public efficace qui délivrait le courrier 6 jours sur 7, avec une présence sur tout le territoire (144 bureaux et annexes dans le Loir et Cher).
Mais l’Union européenne fait pression depuis des années pour faire entrer le service postal dans le champ de la concurrence, au détriment des usagers qui deviennent des clients à qui il faut vendre toujours plus et toujours plus cher pour rentabiliser l’entreprise. Avec la complicité des Leroy et autres élus LR, UDI, PS, MoDem et aujourd’hui En Marche… arrière.
Bosch, Delphi : menaces sur l’industrie automobile en Loir et Cher.
La Nouvelle République confirme aujourd’hui les menaces de suppressions d’emploi chez Bosch à Vendôme.
Par des sources syndicales, nous étions informés depuis près d’un mois, mais n’avons pas souhaité ajouter à l’inquiétude des personnes concernées sans avoir de nouveaux éléments d’information.
Suite à un comité d’entreprise extraordinaire, la direction confirme son intention de réduire le personnel sur le site de Vendôme, sans toutefois annoncer les chiffres.
Cette décision serait justifiée par une baisse importante du chiffre d’affaires avec « des pertes conséquentes depuis plusieurs années« , selon la même source, à cause d’une « pression économique considérable« .
Traduction : le site de Vendôme est victime de la concurrence déloyale de pays, y compris à l’intérieur de l’UE, dont les coûts de production sont largement inférieurs aux nôtres.
A l’intérieur de l’entreprise, on évoquait clairement une délocalisation de certaines productions.
Situation paradoxale au moment où la marché automobile français est en pleine croissance (+ 10,3% en novembre, et une prévision entre + 3 et +5 % sur l’année).
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Vendôme : où sont les 1000 emplois promis ?
La Nouvelle République fait le point à la mi-mandat des principales villes du département, en commençant par Vendôme.
Après avoir donné la parole à la majorité dans son édition du 10 octobre, c’est aujourd’hui au tour des oppositions de s’exprimer.
Renaud Grazioli, notre élu FN présente un constat plutôt sévère.
La promesse phare du candidat Brindeau, en forme de slogan, était de créer 1000 emplois à Vendôme et d’y ramener 1000 habitants supplémentaires.
Encore faudrait-il agir pour cela, ce qui est loin d’être évident pour notre élu, qui pointe au contraire des dépenses d’aménagement parfois trop coûteuses mais n’ayant aucun rapport avec le développement économique. Une compétence qui au passage est désormais transférée à la Communauté de communes.
L’objectif a donc peu de chance d’être atteint un jour. Rappelons aussi, en terme de population que Vendôme a perdu plus de 1000 habitants depuis 1975, malgré l’arrivée du TGV, soit 6% de sa population.
Dans un climat économique morose, où la timide reprise observée par l’INSEE (entre 0,1 et 0,2% de croissance supplémentaire attendus en 2017) fait d’abord travailler les usines chinoises, tandis que la loi NOTRe amplifie la fracture territoriale au détriment des petites villes et de la ruralité, Pascal Brindeau est réduit à gérer, mais comme le dit Renaud Grazioli, cela ne suffit pas.
#Législatives2017 : réunion publique avec Jean-Yves Narquin à Vendôme.
Jean-Yves Narquin et son suppléant Olivier Besnard tenaient hier soir une réunion publique à la salle de Courtiras à Vendôme.
Plus de 50 personnes avaient répondu présent pour écouter notre candidat expliquer les enjeux de cette élection et les grandes lignes de notre programme.
Les électeurs de la 3ème circonscription vont-ils enfin voter pour un véritable changement ? Cela semble d’autant plus nécessaire que le député sortant s’affiche clairement comme « Macron compatible ».
#Marine2017 : journal de campagne en Loir et Cher.
Après un week-end bien rempli, les actions se poursuivent en début de semaine.
Quelques photos de la Beauce et du Vendômois pour illustrer la campagne, mais d’autres secteurs ne sont pas en reste.
Envoyez-nous vos photos !
Marine sur TF1 c’est bien, mais il faut également qu’elle soit sur les murs de tous les villages de France !
#Marine 2017 : sur le marché de Vendôme et à Oucques.
Chaque jour les militants du FN41 sont sur le terrain. Ce matin au marché des Rottes à Vendôme, mais également à Oucques à l’occasion de la célèbre cavalcade, pendant que d’autres entretenaient l’affichage aux alentours.
Nous attendons d’autres compte-rendus de campagne dans la soirée pour compléter l’article.
Mise à jour : on nous communique également des actions de « boîtage » Saint Martin et Montoire (Franck et Ginette), collage dans le canton de Montoire.
#Marine 2017 : la 3ème circonscription se mobilise !
Vendôme : des militants confiants et déterminés.
La campagne est bien partie aussi dans la 3ème circonscription. Plusieurs équipes ont déjà commencé l’affichage et le boîtage des documents, la palme revient au canton de Beauce, mais elle a démarré aussi dans le Perche et le canton de Montoire.
Plus de 30 militants ont répondu présent lundi 20 janvier pour une réunion de travail à Vendôme, en présence de Michel Chassier, Secrétaire départemental, Renaud Grazioli, Secrétaire de circonscription, Olivier Besnard responsable du canton de Beauce, Marc-Antoine Andréani, responsable du canton du Perche.
Des militants confiants et déterminés qui s’apprêtent à couvrir toute la circonscription, du Perche à la Vallée de la Loire.
En plus de l’affichage et de la diffusion des documents, plusieurs actions ont déjà été programmées.
La campagne va encore s’intensifier en Loir et Cher.
Vendôme : une gauche dogmatique contre la vidéo-surveillance !
Renaud Grazioli, conseiller municipal FN de Vendôme et responsable du canton.
Lors du dernier conseil municipal à Vendôme il a été question à nouveau de la vidéo-surveillance, ou plutôt de vidéo-protection selon la terminologie du Ministère de l’Intérieur.
Il s’est encore trouvé, en 2017, des élus de gauche (PS, PC) pour s’y opposer (la Nouvelle République du 06/02/2017).
On croit rêver ! A tel point qu’une ancienne conseillère municipale de l’équipe de Daniel Chanet juge ce comportement « indigne, dogmatique et purement électoraliste« .
Le Front National, par la voix de Renaud Grazioli (Vendôme Bleu Marine) a voté en faveur de la convention proposée.
Notre élu vendômois est déjà intervenu par le passé pour défendre l’installation d’une vidéo-protection, tout en soulignant que cela ne suffirait pas à résoudre la question des moyens affectés au commissariat de Vendôme.
Rappelons qu’à Blois Jack Lang s’était opposé, lorsqu’il était maire, à l’installation de caméras proposées par les élus du Front National.
Le maire suivant l’a fait, et aujourd’hui Marc Gricourt (PS tendance Hamon) poursuit l’installation du dispositif.
La gauche vendômoise semble bien vivre dans un autre siècle.
Apprendre à lire aux migrants : combien ça coûte, et à qui ?
(image d’illustration)
La Nouvelle République consacre un article aux formations dispensées par l’association Alire à destination des étrangers « désireux de s’installer en France. »
En fait, on rencontre des situations diverses. Certains sont des « réfugiés » ou plutôt des « demandeurs d’asile », ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Malgré l’assouplissement des régularisations demandé par le gouvernement, 70% des demandes sont rejetées, ce qui veut bien dire que ce ne sont pas majoritairement des réfugiés.
D’autres sont venus pour rejoindre leur conjoint français, là encore avec une part non négligeable de mariages « arrangés » par des intermédiaires qui travaillent aujourd’hui sur Internet, ou encore viennent au titre du regroupement familial.
L’origine géographique des personnes citées dans l’article montre bien que les réfugiés y sont minoritaires : pays du Maghreb, Arménie, Afrique noire (sans autre précision), Irak, Taïwan. Et ce sont des femmes qui sont majoritairement citées, contrairement à ce que nous montrent les images des hordes de « migrants » forçant les frontières de l’Europe.
Question : où sont donc passés les hommes ? Certains auraient-ils d’autres activités plus lucratives comme le montre souvent la rubrique des faits divers ?
Il est rappelé aussi que ces formations s’inscrivent dans le cadre du Contrat d’intégration républicaine (CIR), dont les signataires s’engagent à « respecter de manière effective les principes qui régissent la République française » ou encore les « les valeurs essentielles de la société française et de la République ». Est-ce à dire que le port du voile est interdit pendant les cours ? Quel est le contenu de l’instruction civique qui est dispensée ? Autant de questions qui mériteraient une réponse.
Enfin l’article n’évoque jamais une question essentielle : combien ça coûte et qui paie ?
L’association Alire vend également des formations à la Région Centre-Val de Loire (*), notamment au titre des « savoirs de base », dispositif de remise à niveau qui n’est pas sans similitudes avec ce qui se fait pour l’accueil des étrangers.
Or, ces « visas Libres savoirs » qui durent 10 à 80 heures sont facturés entre 194 et 511 € (visa trois en un de 80 heures) par stagiaire. Par déduction, on peut estimer un module de 200 heures à environ 1 200 €, soit 24 000 € pour la formation citée en exemple.
Et l’article précise que 275 formations ont été dispensées en 2016 par l’association. Pour quel coût total ?
Nous espérons – sans trop y croire – que les intéressés feront connaître les réponses.
En tout cas, nous constatons, comme avec l’exemple de Coalia à Salbris, que l’accueil des « migrants » représente un business intéressant pour certains… mais toujours aux frais du contribuable !
(*) bien que l’association Alire n’ait pas toujours été retenue en raison de notes éliminatoires dans les appels d’offres, (« offres irrégulières »)
Pays Vendômois : nouvelle pression sur les maires ruraux.
(photo-montage FN41)
Cela fait plusieurs années que Maurice Leroy et Pascal Brindeau font le forcing pour imposer une « agglomération » du Vendômois regroupant 105 communes.
Démarche appuyée par le représentant de l’Etat, car elle va dans le sens voulu par les gouvernements de l’UMPS depuis 30 ans, dans le but de faire disparaître progressivement à la fois les départements et l’échelon communal.
Dans le nord du département beaucoup d’élus ruraux refusent cette perspective et le vote d’un certain nombre de conseils municipaux a été sans ambiguité.
Mais comme ce résultat ne convient pas, Pascal Brindeau demande au maires de faire revoter leur conseil !
Pour certains, cette démarche relève de l’ingérence (la Nouvelle République du 6/12/2016).
Elle démontre en tous cas une certaine conception de la démocratie de la part du tandem néo-filloniste Leroy-Brindeau.
Mais c’est bien dans la logique de ce pilier du système qu’ils soutiennent désormais à la présidentielle, et qui souhaite accélerer encore cette réforme territoriale destinée à détricoter la France pour en faire une juxtaposition de länder et de métropoles reliées directement à Bruxelles.
C’est pourquoi les échéances électorales de 2017 auront une grande importance pour l’avenir dans le Vendômois comme ailleurs.
Vendôme : les militants sur le marché des Rottes
Autour de Renaud Grazioli secrétaire de circonscription et Olivier Besnard responsable du canton de Beauce, les militants du Vendômois étaient dimanche matin sur le marché des Rottes. L’accueil est toujours largement favorable : une seule réaction hostile pour des dizaines ouvertement favorables et de nouveaux contacts pris avec des personnes qui souhaitent nous rejoindre.
Après la réunion du 4 novembre, la 3 ème circonscription est en ordre de marche pour les campagnes à venir.
Une voiture brûlée à Saint Aignan, une autre à Vendôme.
Rue Racine à Saint Aignan.
C’est devenu presque quotidien, au point qu’un tel événement est relaté à chaque fois en quelques lignes par la Nouvelle République.
Pourtant une voiture brûlée, un incendie volontaire, ce n’est pas anodin. En particulier pour les victimes, souvent des personnes modestes, dont le véhicule est le seul moyen de se rendre au travail.
Et quand il s’agit d’une voiture qui n’est plus toute jeune, l’assurance ne rembourse que la valeur vénale, ce qui ne permet pas de se racheter une voiture.
Cette fois c’est à Saint Aignan qu’une voiture a brûlé vers 2 heures du matin dans la nuit de mardi à mercredi, rue Racine.
Ce qui est frappant c’est de voir aussi à quel point ce type de délinquance touche maintenant tout le département, et plus seulement les zones urbaines ou périphériques.
Si nous relatons ces faits, c’est parce que nous considérons qu’on ne doit pas se résoudre à les accepter et à les minorer.
Mise à jour : la Nouvelle République annonce par une brève à 10 h 38 qu’une voiture a été incendiée dans la nuit de mercredi à jeudi rue Henri-Dunant à Vendôme. Selon l’expression habituelle, « les circonstances de l’incendie sont pour l’heure indéterminées. »
Une voiture brûlée à Cellettes, feux de poubelles à Blois, cambriolages en série dans le département.
Image d’illustration.
Une voiture a été incendiée à Cellettes dans la nuit de samedi à dimanche, vers 3 h 30 du matin, route d’Aulnières.
Samedi soir ce sont des poubelles qui ont été incendiées Place Coty à la ZUP de Blois, au coeur de ce quartier rénové.
Ce même week-end la Gendarmerie signale une vague de cambriolage dans le nord du département, de Saint Martin des Bois à Morée, mais aussi à Noyers sur Cher. Apparemment les malfaiteurs ont profité de ce week-end prolongé pour « visiter » des maisons dont les propriétaires s’étaient absentés.
A Morée, ils n’ont pas hésiter à faire voler en éclats la vitrine de la pharmacie pour dérober la caisse (source : la Nouvelle République du 31/10/2016).
Le week-end n’est pas fini avec le pont de la Toussaint, il convient de rester vigilant.
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
Jordan Bardella à Mer le 25 janvier
Bien que nous ayons basculé sur notre nouveau site depuis juin 2019, vous êtes encore nombreux à consulter ce blog. C’est pourquoi nous avons décidé...
RN Loir-et-Cher : Notre nouveau site internet départemental est en ligne.
Dans la suite logique de la refondation de notre mouvement initiée l’an dernier par nos instances nationales, nous avons le plaisir de vous faire...
Européennes 2019 : Marine LE PEN, Jordan BARDELLA et Nicolas BAY à Mer Samedi 13 Avril.
Nous avons l’honneur de vous annoncer la venue de Marine LE PEN, Présidente du Rassemblement National, Jordan BARDELLA, Tête de liste aux élections...
Européennes 2019 : le temps se gâte pour Macron et ses alliés.
Marine Le Pen imprime sa marque sur la campagne des européennes. Lors de son passage dans l’Emission politique la semaine dernière, elle a réalisé...
Européennes 2019 : en Loir et Cher aussi #OnArrive !
La campagne pour les européennes se poursuit en Loir et Cher : affichage, distribution de documents dans les boîtes aux lettres, porte à porte. Une partie...